Waisea Nayacalevu, après avoir brillé au Stade-Français Paris, a choisi de rejoindre le Rugby Club Toulonnais en 2022. Cette trajectoire prometteuse semblait augurer de nouvelles réussites pour le joueur fidjien. Cependant, son passage au sein du club de la Rade n’a pas été à la hauteur des attentes, l’empêchant de s’y imposer véritablement.
Un passage difficile au Rugby Club Toulonnais
Durant son séjour chez le Rugby Club Toulonnais, Waisea Nayacalevu n’a pas réussi à convaincre par ses performances. Malgré son talent indéniable et son expérience au plus haut niveau, il n’a pu se faire une place au sein de l’effectif toulonnais. L’été précédent, face à des prestations jugées insuffisantes, les dirigeants du RCT ont pris la décision de ne pas prolonger son contrat, marquant ainsi la fin de son aventure sur la côte méditerranéenne.
Un nouveau départ en Angleterre
Suite à son départ de Toulon, Waisea Nayacalevu a choisi de relancer sa carrière du côté de Sale, en Angleterre. Pourtant, les choses ne se sont pas déroulées comme prévu pour le trois-quarts centre fidjien. Ses prestations avec les Sharks se sont révélées décevantes au fil des matchs. L’encadrement du club anglais, insatisfait, n’a pas tardé à lui signifier la possibilité de chercher un nouveau défi ailleurs.
Retour inattendu en France
Selon une annonce faite ce mardi par Midi Olympique, Waisea Nayacalevu a opté pour un retour sur les terres françaises. Dès l’été prochain, il rejoindra les rangs du Stade Niçois. Ayant disputé 40 matchs internationaux sous le maillot fidjien, il espère retrouver la forme et l’ambition au sein de ce club. Le Stade Niçois, actuellement en difficulté en bas de tableau de Pro D2, pourrait bien bénéficier de l’apport physique et de l’expérience de Nayacalevu.
L’avenir avec le Stade Niçois
En rejoignant le Stade Niçois, Nayacalevu mise sur une relance efficace de sa carrière. La lanterne rouge de la Pro D2 entend bien profiter de ses qualités pour tenter de remonter la pente. À moins d’une surprise, il évoluera donc en Nationale dès l’été prochain, déterminé à prouver que son talent est toujours intact et qu’il a encore beaucoup à offrir au rugby hexagonal.