Mourad Boudjellal révèle le joueur le plus agressif du RCT, surpassant Gorgodze et Botha.

L’ancien président emblématique du Rugby Club Toulonnais, Mourad Boudjellal, a partagé ses réflexions dans une interview captivante menée par Mehdi Merabet, un ancien joueur du RCT.

Un échange avec un ancien pilier du RCT

Mehdi Merabet, autrefois pilier du prestigieux XV de la Rade, a lancé une chaîne YouTube intitulée ‘FeedBack’. Cette plateforme accueille fréquemment des figures marquantes du monde sportif pour des discussions approfondies. Récemment, l’attention s’est portée sur Mourad Boudjellal, qui a accepté de participer et de se livrer à Mehdi Merabet au cours d’un entretien riche en révélations.

Les choix de Boudjellal pour une équipe idéale

Durant cet entretien, Mourad Boudjellal a révélé les trois joueurs qu’il sélectionnerait sans hésitation pour constituer une équipe de rêve. Il a nommé Jonny Wilkinson, Bakkies Botha et Matt Giteau comme ses choix incontournables. Voici ce qu’il a mentionné à leur sujet :

Des icônes du Rugby Club Toulonnais

En parlant de Jonny Wilkinson, il a évoqué l’importance du joueur et son impact, précisant : « Choisir Jonny en numéro 10 n’est pas discutable ; c’est Jonny Wilkinson, après tout ! Je me souviens de m’être inquiété pour lui après l’avoir vu s’entraîner sans relâche pendant cinq à six heures. Je le conseillais d’atténuer ses séances de tir, il avait une dévotion presque obsessionnelle. » Ensuite, Boudjellal a souligné l’apport de Bakkies Botha pour sa combativité unique. Quant à Matt Giteau, il le décrit comme l’un des esprits les plus brillants qu’il ait côtoyés sur le terrain.

Un ajout supplémentaire : Juanne Smith

Mourad Boudjellal ne s’est pas arrêté à trois choix. En ajoutant un quatrième joueur, il a mentionné Juanne Smith, décrivant ce dernier comme le plus féroce que le RCT ait connu. Tancrédant son apparence séduisante qui masquait sa dureté sur le terrain, il s’est rappelé diverses occasions où Smith s’est distingué par sa menace intense durant les matchs et même au-delà, affirmant : « C’était le véritable dur à cuire, pas une imitation. »

L’absence notable de Tana Umaga

Enfin, Boudjellal a expliqué son omission de Tana Umaga dans sa sélection. Pour lui, Umaga était un architecte, plutôt qu’un simple joueur. « Son rôle allait au-delà du jeu, il apportait une essence presque enchantée au rugby en Pro D2, c’est pour cela qu’il était là, » a-t-il précisé. Ainsi, Boudjellal met en avant la dimension stratégique qu’Umaga apportait à l’équipe, sans doute plus précieuse encore que ses exploits sportifs personnels.

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