Les rumeurs enflamment la planète F1. Christian Horner, le grand manitou de Red Bull, aurait été courtisé par Ferrari, rien que ça. De quoi faire parler dans les paddocks. Mais Horner reste imperturbable.
Horner reste fidèle à Red Bull
Christian Horner a tenu à clarifier les choses. Oui, Ferrari a tenté une approche pour le débaucher, mais lui, il reste accroché à Red Bull comme un koala à son eucalyptus. « Mon engagement avec Red Bull ? À 100 % ! » a-t-il annoncé face à la presse, droit dans ses bottes. C’est que l’homme est difficile à déloger.
Des liens amicaux, mais sans suite
L’amitié entre John Elkann, le big boss de Ferrari, et Horner n’est un secret pour personne. Une entente qui remonte à des années. Mais malgré un coup de téléphone amical pour remplacer Fred Vasseur, Horner n’a pas vacillé. Déjà en 2022, Elkann avait tenté de l’attirer pour remplacer Mattia Binotto, sans succès.
L’humour au secours de Horner
Lors de la conférence de presse à Barcelone, Horner, installé à côté d’un Flavio Briatore bien agité, n’a pas perdu son esprit. « Mon italien est aussi mauvais que l’anglais de Flavio. Comment cela pourrait-il fonctionner ? » a-t-il lâché, mi-amusé, mi-défensif. Pas question de changer d’écurie, même pour une amore à l’italienne.
Ferrari sous pression
Fred Vasseur a beau avoir redynamisé Ferrari, la tension monte. Après une saison où ils ont dû se contenter de la deuxième place, l’équipe enchaîne les résultats mi-figue mi-raisin. Le battage autour du recrutement de Lewis Hamilton s’est transformé en douche froide : le podium lui échappe, sauf pour une victoire en sprint en Chine.
Leclerc, seule éclaircie
Seul Charles Leclerc sauve l’honneur avec deux podiums cette année. La question brûle les lèvres : Vasseur a-t-il encore les commandes en main ou Ferrari prépare-t-elle une révolution ? Pour l’instant, silence radio du côté de Vasseur. Mais le paddock est en émoi, et l’affaire est loin d’être close.
