Isabelle Ithurburu, la triste nouvelle

Triste nouvelle concernant Isabelle Ithurburu

Passionnée par la Section Paloise, l’animatrice phare de TF1 a assisté, ce week-end, à l’effondrement de ses espoirs de voir l’équipe atteindre la phase finale.

Il semble qu’Isabelle Ithurburu a trouvé un côté positif au mauvais temps qui a couvert la France ce samedi. Le public a été nombreux à se rassembler devant leurs écrans, et une semaine après avoir connu des audiences plutôt décevantes, l’émission 50’Inside a connu un grand succès en rassemblant 2,14 millions de téléspectateurs.

Anciennement à la tête du Canal Rugby Club, Isabelle Ithurburu n’avait certainement pas le cœur à la fête ce samedi soir. La raison ? La défaite de la Section Paloise face au Racing (24-15) pour le compte de la 25e journée du Top 14. Cette défaite a sérieusement mis à mal les espoirs de qualification pour les barrages de l’équipe. Et les matchs qui ont suivi ont définitivement anéanti tout espoir restant.

En effet, La Rochelle a réussi à arracher un match nul mérité sur le terrain du Stade Toulousain et, à l’instar du Racing, devient inatteignable pour Pau, désormais neuvième au classement. Les excellents débuts de saison de la Section semblent bien loin désormais, et le club béarnais rate encore une fois sa chance de participer aux barrages. Une déception amère pour Isabelle Ithurburu, une supportrice loyale.

Le choc de 2006

« J’ai toujours eu une passion pour le rugby parce que les matchs de la Section m’ont toujours procuré beaucoup d’émotions. Je suis séduite par le jeu et l’esthétisme », a-t-elle révélé cet hiver dans une interview pour le Quotidien du Sport : « Je peux aller voir des matchs de basket, mais si l’équipe ne va pas bien, cela ne m’intéresse pas contrairement à la Section Paloise, pour qui je continue de vibrer même dans les moments difficiles. »

Cette désillusion est sans doute moins forte que celle vécue au printemps 2006, lorsque le club a été relégué en Pro D2. « Le traumatisme de la descente en 2005/2006 reste gravé. Nous étions en compétition avec Bayonne et Montpellier. L’avant-dernier match, j’ai craqué. Sur un coup de tête, j’ai sauté dans ma petite Smart pour aller les soutenir à Montpellier, a-t-elle rappelé. J’ai écouté la dernière journée à la radio, le suspense était insoutenable. C’était le match décisif contre Castres (25-27). Vers la fin du match, il nous fallait seulement un essai pour nous sauver. Lionel Beauxis fait une erreur et tente un drop alors qu’il y avait une ouverture sur le côté. Finalement, c’est Bayonne qui se sauve avec trois points d’avance. »