Le coup de gueule de Grégory Lamboley, ex-Toulouse

L’ancienne star du Stade-Toulousain s’exprime fortement sur Twitter : La comparaison entre le Stade-Toulousain et le PSG fait débat

Grégory Lamboley réagit aux propos de Laurent Marti

Grégory Lamboley, qui a autrefois brillé en tant que troisième ligne pour le Stade-Toulousain, est aujourd’hui très présent sur Twitter pour partager ses opinions sur le monde du rugby. Ce jeudi, il a saisi l’occasion pour répondre aux déclarations de Laurent Marti, président de l’Union Bordeaux-Bègles. Celui-ci s’était amusé à dresser un parallèle entre la suprématie du Stade-Toulousain dans le rugby hexagonal et celle du Paris-Saint-Germain dans le football français.

Lamboley n’a pas hésité à commenter avec une pointe d’ironie, en soulignant son impatience de voir le Stade-Toulousain l’année prochaine, tout en mentionnant une hypothétique pénalisation de dix points dans le classement. Cette sortie semblait avoir pour objectif de piquer Laurent Marti et de remettre en question sa comparaison.

Un modèle économique unique

Grégory Lamboley a ensuite détaillé sa pensée, en mettant en avant l’histoire et le modèle de fonctionnement particulier du Stade-Toulousain. Contrairement à d’autres, le club repose en grande partie sur ses nombreux partenaires et se distingue par l’absence de grands mécènes. De plus, la formation des jeunes talents y est incomparable. Ces éléments, selon Lamboley, rendent la comparaison entre le Stade-Toulousain et le PSG inappropriée, car les deux clubs ne reposent pas sur les mêmes bases économiques et culturelles.

Le défi de la saison prochaine

L’enthousiasme de Lamboley se manifestait clairement à travers son anticipation de la saison suivante. Il imaginait déjà voir comment le Stade-Toulousain se comporterait sous la contrainte d’un handicap de dix points, ce qui n’était bien sûr qu’une provocation lancée pour souligner la force et la résilience de son ancien club. Il semblait confiant que, même avec un tel désavantage, le Stade-Toulousain saurait prouver sa valeur sur le terrain.