L’hécatombe toulousaine se poursuit, mais le moral reste au beau fixe du côté du Stade Toulousain. En pleine tempête d’absences, le club rouge et noir a vu, ce samedi face à Castres, son infirmerie encore se remplir. La victime du jour ? Blair Kinghorn, contraint de quitter le terrain après seulement dix minutes de jeu à cause d’un genou droit capricieux suite à un duel aérien.
Blair Kinghorn, une sortie prématurée
À moins de sept jours de la demi-finale de Champions Cup contre l’UBB, cette sortie anticipée a de quoi inquiéter. Et pourtant, le club fait bloc derrière un optimisme de façade. David Mélé, le sorcier des skills de Toulouse, tempère les angoisses : « A priori, c’est juste un coup. Le genou a pris cher dans une lutte aérienne. Est-ce qu’il a tourné ? Mystère. Les premiers examens sont plutôt cléments. ».
Des doutes mais un espoir
Kinghorn n’est pas le seul à souffrir. Théo Ntamack a aussi déserté la pelouse à la 50ᵉ minute. Encore des raisons de s’affoler ? « Rien de dramatique », tranche Mélé. « C’est une vieille béquille qui fait des siennes, rien de plus. »
Côté préoccupations médicales, Naoto Saito et Ange Capuozzo sont aussi en ligne de mire. Saito, victime d’une petite entorse face au Stade Français, pourrait rechausser les crampons contre l’UBB. Et pour Capuozzo ? Sa reprise s’accélère, promettant un retour peut-être plus rapide que prévu pour ces étapes cruciales de la saison.
Encore un chapitre à écrire…
