Au cours d’une rencontre de bienfaisance, Zinedine Zidane a partagé une révélation surprenante avec le musicien Calogero.
Lors de son passage dans l’émission « Le bon dimanche show » diffusée sur RTL, Calogero a partagé une mémorable expérience vécue aux côtés de Zinedine Zidane, durant laquelle les deux hommes ont eu l’occasion de jouer au football ensemble lors d’une rencontre à but caritatif. Cette expérience, loin d’être banale pour le chanteur, lui a laissé un souvenir plutôt amer.
Calogero s’est confié sur ce moment particulièrement marquant pour lui, lorsqu’il a eu le privilège de recevoir une passe de la part de son idole, Zinedine Zidane. Cette opportunité, que beaucoup rêveraient de vivre, s’est malheureusement transformée en un incident embarrassant pour le musicien. «J’ai tenté un geste technique pour contrôler le ballon, désirant probablement faire bonne impression. Le stade était rempli, nous étions à Grenoble, et à mon grand désarroi, le ballon a glissé sous mon pied. C’était comme vivre un cauchemar éveillé», raconte l’artiste avec une pointe d’humour teinté de regret, dans des propos retranscrits par Gala.
«Face à une guitare, je serais tout aussi désemparé !»
Zinedine Zidane, avec grande bienveillance, n’a pas tenu rigueur à Calogero de son erreur de débutant. L’ex-vedette des terrains a, avec empathie, cherché à réconforter le chanteur en partageant une perspective plutôt rassurante. «Il m’a rassuré en me faisant comprendre qu’il se retrouverait dans une situation similaire s’il devait manier une guitare plutôt qu’un ballon», a relaté Calogero, illustrant la sympathie et l’humilité de l’ancien meneur de jeu de l’équipe de France.
Au cours de cet entretien, Calogero a également exprimé son amour pour le football, un intérêt qu’il partage avec sa fratrie. «J’ai deux frères plus âgés qui vivent littéralement pour le football, suivant avec passion l’ensemble des compétitions. Quant à moi, mon enthousiasme pour ce sport se ravive essentiellement lors des grandes compétitions internationales», a-t-il avoué, soulignant une affection partiellement saisonnière pour le ballon rond, influencée par l’engouement familial.