Théo Hernandez, joueur de l’AC Milan, fait actuellement face à des allégations sérieuses suite à un incident survenu dans une boîte de nuit à Milan. Ce scandale met en lumière des accusations de comportements violents, alimentées par des images vidéo et des critiques concernant sa consommation excessive d’alcool.
Polémique autour de Théo Hernandez : incident dans un club milanais
Théo Hernandez, qui évolue en tant que défenseur pour l’AC Milan et représente l’équipe nationale française avec 36 apparitions et 2 buts à son actif, se retrouve au cœur d’une tempête médiatique. L’affaire prend de l’ampleur après des déclarations du journaliste italien Fabrizio Corona et des analyses de Daniel Riolo, connu pour ses interventions sur RMC. Les deux hommes rapportent qu’Hernandez aurait agressé physiquement deux femmes dans un club nocturne milanais. La polémique est alimentée par des vidéos de surveillance, d’une durée totale de 37 minutes, qui sembleraient corroborer ces accusations. Le propriétaire de l’établissement demande 64 416 euros pour compenser les dégâts, avec une requête additionnelle de 30 000 euros pour éviter la diffusion publique des enregistrements vidéo.
Lors d’une discussion animée dans l’émission After Foot sur RMC, Daniel Riolo n’a pas mâché ses mots en critiquant Théo Hernandez. Il a décrit la scène enregistrée comme étant de nature « absolument répugnante ». Selon lui, les instances du club n’ont plus de doute concernant l’implication de leur joueur. Riolo a également souligné les antécédents de l’international, âgé de 27 ans, notamment sa supposée dépendance à l’alcool et son comportement agressif en état d’ébriété. Il a rappelé plusieurs incidents passés lors de soirées arrosées, notamment après des rencontres avec l’équipe de France contre le Chili et l’Écosse.
Répercussions et affaires antérieures
Daniel Riolo a en outre mentionné d’autres affaires impliquant Théo Hernandez, mettant en avant un schéma récurrent de sa part : abus d’alcool suivi d’agressions physiques. Selon Riolo, cette situation « sent mauvais » pour le joueur. Il a critiqué le manque de sanctions sévères et a comparé la situation actuelle à la charte éthique rigoureuse instaurée en 2012 par Didier Deschamps pour régir la conduite des joueurs de l’équipe nationale. Riolo estime que cette charte, autrefois cruciale, semble avoir été mise de côté, pointant du doigt l’absence de vigilance dans le suivi comportemental des sportifs de haut niveau.