Lundi, le soleil a brillé sur le WTA 1000 de Rome, mais pas pour tout le monde. Jasmine Paolini et Coco Gauff poursuivent leur aventure alors que le parcours de Naomi Osaka s’arrête brutalement. Le tournoi romain n’a pas fini de nous surprendre !
Les exploits de Paolini et Gauff
Jasmine Paolini, l’Italienne assoiffée de victoires, a atteint un cap cette semaine. À 29 ans, elle signe une performance digne des plus grands en éliminant Jelena Ostapenko. La Lettonne, fraîchement couronnée à Stuttgart, s’est inclinée 7-5, 6-2 sur la terre battue. Et ce n’est pas fini ! Pour son premier quart de finale à Rome, Paolini affrontera la Russe Diana Shnaider, qui n’a fait qu’une bouchée de la Belge Elise Mertens.
De l’autre côté du court, Coco Gauff, la prodige américaine, a également validé son ticket. La championne de l’US Open 2023 a expédié Emma Raducanu, lauréate à New York en 2021, en deux sets expéditifs : 6-1, 6-2. Gauff est prête à en découdre avec soit la Russe Mirra Andreeva, soit Clara Tauson du Danemark. Accrochez-vous, le suspense est à son comble !
Terminus pour Osaka
Pour Naomi Osaka, l’avenir romain s’est assombri. Après huit victoires consécutives, elle est tombée face à Peyton Stearns. Un combat acharné, long de plus de 2h40, s’est terminé sur le score de 6-4, 3-6, 7-6 (7/4). Stearns, jeune espoir de 23 ans, passe une grosse étape en sortant une telle championne après son sacre à Saint-Malo. Elle retrouvera Elina Svitolina ou Danielle Collins en quart. La compétition monte en intensité !
S’exprimant après cette victoire mémorable, Stearns a déclaré : « Avant Madrid et Rome, les troisièmes sets, c’était mon cauchemar. Maintenant, j’ai appris à les dominer, même dans les tie-breaks les plus serrés. » Les mots sont pesés, prêts pour les prochaines joutes.
Préparez-vous. Les quarts de finale de Rome s’annoncent électriques avec ces joueuses qui toutes rêvent de soulever le trophée. Chacune surfe sur sa dynamique, et nul doute, le défi est immense.
Le tennis, ce sport où tout peut basculer à chaque échange, continue de nous tenir en haleine. À Rome, c’est le jeu, ma pauvre Lucette !