À Rome, la Québécoise Leylah Annie Fernandez a vu son aventure s’arrêter en troisième manche dimanche. La jeune étoile montante, 26e au classement mondial, a trébuché face à l’ouragan Marta Kostyuk, l’Ukrainienne flashée 7e mondiale. Voilà comment ça s’est passé, et ce qui nous attend ensuite.
Les ambitions brisées de Leylah
Le rêve de Fernandez a viré au cauchemar lorsque Kostyuk l’a expédiée hors du court avec un score sans appel de 6-4, 6-2. Pas de miracle pour la Canadienne face à une Ukrainienne en feu. Kostyuk n’a pas levé le pied et fonce désormais tête baissée vers le sommet, prête à affronter la patronne du tennis, Aryna Sabalenka.
Une Sabalenka malmenée mais victorieuse
Et Sabalenka, elle, n’a pas eu la vie facile face à Sofia Kenin, la coriace Américaine. Après plus de deux heures de jeu acharné, c’est finalement la Bélarusse qui a eu le dernier mot : 3-6, 6-3, 6-3. Service en dent de scie, mais victoire tout de même. On l’attend maintenant avec impatience au tournant face à Kostyuk.
La nouvelle reine de Rome ?
Sabalenka se présente comme la grande favorite, surtout depuis que la reine en titre, Iga Swiatek, a été éjectée du tournoi. La Bélarusse a déjà embelli son palmarès cette saison avec des victoires à Brisbane, Miami et Madrid. Sa forme est éclatante, alors que tous les projecteurs se braquent sur elle pour Roland-Garros, le rêve ultime de sa saison. Elle a atteint les finales des quatre derniers tournois qu’elle a disputés. Autant dire qu’elle arrive à Paris gonflée à bloc.
Bref, tenez vos agendas prêts pour cette confrontation où tout peut arriver. Une chose est sûre, Sabalenka est loin d’avoir dit son dernier mot, et l’histoire ne fait que commencer.