À l’approche de l’ouverture de Roland-Garros, Laurent Luyat a pris part, ce samedi, à l’émission Quelle Epoque ! diffusée sur France 2. Durant cette apparition, l’animateur a saisi l’occasion de témoigner son admiration pour Rafael Nadal.
Pour Laurent Luyat, le moment fort de chaque année est incontestablement lié au célèbre tournoi de Roland-Garros. C’est à la veille de cet événement sportif majeur, sur le plateau de l’émission « Quelle Epoque! » animée par Léa Salamé, que le visage bien connu de France 2 a partagé ses impressions sur le tournoi à venir.
Il ne fallut pas longtemps pour que la conversation se dirige vers Rafael Nadal et la rencontre très attendue contre Zverev, prévue pour le lundi. Laurent Luyat exprime son soutien à Nadal, soulignant à quel point il apprécie Zverev, récent vainqueur à Rome, mais met en avant l’importance de ce match. « J’espère que Nadal, si c’est son dernier jeu, terminera de manière mémorable et non sur une défaite écrasante, tout en recevant les hommages qu’il mérite, » confie Luyat, affirmant que Nadal a toujours une chance de victoire, car avec lui, tout est envisageable.
## « Nadal a conquérir le cœur de chacun »
Ayant plus de deux décennies d’expérience à l’antenne, Laurent Luyat a eu de nombreuses occasions d’échanger avec Rafael Nadal, notamment sur la fameuse terrasse de France Télévisions qui offre une vue imprenable sur le court central. Luyat décrit Nadal comme un homme extrêmement courtois, prenant le temps de saluer tout le personnel, ce qui, selon lui, est plutôt rare.
Le présentateur de France TV ne cache pas son admiration pour Nadal, non seulement pour ses performances sportives mais aussi pour sa force mentale exceptionnelle. « C’est incroyable de voir comment il a pu regagner l’affection du public. Après tant de victoires à Roland-Garros (14 pour être précis), le public s’était lassé de le voir gagner systématiquement. Mais ils ont fini par reconnaître sa résilience mentale hors du commun, au-delà de sa force physique, et il a réussi à gagner à nouveau le cœur de tous, » conclut Luyat avec enthousiasme.
