Mohammed Ben Sulayem : un nouvel allié stratégique pour son succès

Coup de tonnerre dans le monde de l’automobile ! Le boss de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, frappe fort en choisissant un allié de Ford pour le poste stratégique de vice-président du sport. Un signe audacieux après une démission qui a fait grand bruit.

Un choix qui bouscule

Quand le vent souffle fort, il ne se contente pas de caresser les feuilles ; il ébranle tout sur son passage. Et c’est un peu l’ambiance à la Fédération internationale de l’automobile ces derniers temps. Ben Sulayem, le grand manitou, a pris tout le monde à la volée en nommant Malcolm Wilson à la vice-présidence du sport. Wilson, pas un inconnu dans le milieu, traîne dans le sillage de Ford depuis belle lurette à travers sa boîte, M-Sport, en rallye. Mais attention, cette nomination, elle doit encore passer la case "OK" des membres de la FIA d’ici juin. Suspense.

Ford joue les cartes gagnantes

En pleine préparation pour leur grand come-back en Formule 1 avec Red Bull dès l’année prochaine, Ford renforce ses positions. Wilson à la vice-présidence de la FIA, c’est aussi un coup de pouce bien senti pour le constructeur américain. On pourrait presque y voir un hasard, mais dans ce monde, le hasard n’a pas souvent son mot à dire. Un timing tout sauf anodin.

Tempête sous un crâne

Le choix de Ben Sulayem n’arrive pas en terrain vierge. La maison FIA, elle a tremblé très fort avec le départ fracassant de Robert Reid. L’ex-adjoint, devenu une voix discordante, n’a pas mâché ses mots, déplorant une érosion des valeurs comme la transparence qui l’avaient pourtant séduit en 2021, à l’heure où lui et Ben Sulayem prenaient les rênes. Le poste de vice-président qu’il laissait vacillant est crucial pour poser les règles du jeu des événements sportifs sous la bannière de la FIA. Bref, une page se tourne. Mais laquelle ?

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