Charles Leclerc, le héros local, a frappé fort dès le début des festivités monégasques en signant le temps canon lors des premiers essais libres du Grand Prix de Monaco. Une entrée en matière qui annonce clairement la couleur pour le pilote Ferrari.
Les Rois du bitume : Leclerc en tête!
À domicile, sur ce circuit si singulier de Monaco (3,337 km pour les intimes), Charles Leclerc n’a pas fait dans la demi-mesure. Il survole le chrono, reléguant Max Verstappen, quadruple champion du monde en titre, à 163 millièmes dans les rétros, et Lando Norris avec sa McLaren à 326 millièmes. Pas d’apologie du détail pour notre Monégasque, il claque le chrono comme on sort un as de sa manche.
Les surprises ne manquent pas non plus. Alex Albon, monté dans sa Williams, vient se caler en quatrième position. Derrière lui, Oscar Piastri dans l’autre McLaren n’a pas dit son dernier mot, tandis que George Russell prend le relais pour Mercedes.
Qui roule, embrasse! Le top 10 en action
Carlos Sainz ne fait pas d’erreur : le pilote Williams se glisse dans le top 10, talonné par Pierre Gasly et sa fougue française pour Alpine. La bataille continue avec Lewis Hamilton, qui montre que ça déménage toujours chez Ferrari. Fernando Alonso, l’indétrônable Espagnol, boucle le haut du tableau avec son Aston Martin.
Quant à nos deux Français, Isack Hadjar et Esteban Ocon, ils serrent les dents et se retrouvent respectivement aux 13e et 16e places. Un début timide, mais l’histoire ne fait que commencer.
Ça passe ou ça casse : Frayeur pour Leclerc
Et pourtant, tout n’a pas été rose pour Leclerc. En un clin d’œil, au virage 6 – celui du Fairmont –, c’était le choc. Lance Stroll, en Aston Martin, a surgi là où il ne fallait pas, forçant notre Monégasque à l’impact. Résultat des courses : aileron avant en miettes pour Ferrari, et suspension arrière explosée pour l’Aston. La boîte de vitesses de Stroll est à refaire.
Un coup dur pour le Canadien, mais pas de quoi faire trembler le Monégasque. Charles Leclerc est prêt à en découdre, et tout Monaco retient son souffle. Attention, le show ne fait que démarrer !