À Rodez, l’ascension en Fédérale 2 est tout sauf banale. En plus des cris de joie et des accolades, une surprise de taille s’est invitée à la fête !
Un tatouage insolite pour une montée historique
Rien ne pouvait prédire que la montée en Fédérale 2 du club aveyronnais serait marquée par une initiative aussi surprenante. Jean-Simon Dressayre, le demi d’ouverture, a décidé de célébrer cet exploit avec un acte totalement inédit : un tatouage du visage de son entraîneur, Patrick Furet, sur son mollet ! Oui, vous avez bien lu.
Dressayre, qui est aussi tatoueur professionnel à ses heures, a frappé fort après la victoire contre Isle. Un succès qui propulse Rodez à l’échelon supérieur, mais qui doit aussi sa part de bruit au geste audacieux de ce joueur pas comme les autres.
Un pari un brin audacieux
« C’était un pari de l’année dernière, » confie Jean-Simon avec un sourire. « Si on montait, je devais me tatouer sa tête. On avait laissé ça de côté, mais dès la reprise de la saison, le coach m’a relancé. Un pari, c’est un pari ! »
Et ce ne sont pas ses coéquipiers qui vous diront le contraire. Bien qu’avertis de l’idée, aucun d’entre eux n’a osé imiter leur camarade. « Dans le groupe Messenger, la photo a fait un carton ! Tout le monde m’a pris pour un fou, certains m’ont même élevé au rang de légende », lance-t-il avec humour.
Et après ?
Ce n’est pas fini ! Dopé par cette montée en puissance, Dressayre n’écarte pas l’idée d’un autre tatouage si Rodez se hisse jusqu’en finale du championnat de France. Décidément, avec lui, chaque étape promet son lot de surprises.
Une chose est sûre, l’aventure ruthénoise est loin d’être finie…
