Richard Dourthe défend fermement deux joueurs critiqués du XV de France !

Analyse de la victoire des Bleus face au Pays-de-Galles : Défense des centres Moefana et Barassi

Une défense passionnée de Richard Dourthe

Le consultant pour Midi Olympique, Richard Dourthe, a récemment partagé son point de vue sur le triomphe éclatant de l’équipe de France de rugby contre le Pays-de-Galles, un match qui s’est déroulé au Stade de France un vendredi soir. Au cœur de son analyse, Dourthe a choisi de défendre deux joueurs du XV de France, Yoram Moefana et Pierre-Louis Barassi, qui ont reçu une avalanche de critiques à la suite de leur performance.

Une réponse aux critiques

Richard Dourthe s’érige en défenseur acharné de ces deux centres, affirmant qu’ils ont été déterminants en perturbant le camp gallois. Pour lui, leur impact sur le match a été sous-estimé par de nombreux observateurs. Il évoque des critiques qu’il a entendues à la fin du match, accusant les deux joueurs d’être restés en retrait et relativement discrets. Cependant, Dourthe rejette ces opinions et met au défi quiconque de demander aux joueurs gallois eux-mêmes ce qu’ils ont ressenti en affrontant Barassi et Moefana.

Le rôle crucial des centres

Dourthe, fort de son expérience passée en tant que centre à une époque où ce poste subissait d’importantes transformations au niveau international, souligne l’importance fondamentale de ce rôle. Historiquement, la mission des centres a toujours été de repousser et fatiguer les défenses adverses, ouvrant ainsi des opportunités sur les ailes pour exploiter ces ouvertures. Selon lui, Barassi et Moefana ont excellemment accompli ce devoir, preuve en est les essais marqués par Théo Attissogbe et Louis Bielle-Biarrey.

Un duo indispensable

L’ancien centre insiste sur le fait que ce duo constitue le véritable noyau de la ligne tricolore. Ceux qui regrettent de ne pas avoir vu des percées plus spectaculaires de leur part doivent comprendre qu’un joueur exceptionnel comme Brian O’Driscoll ne se rencontre qu’une fois tous les trente ans. Richard Dourthe conclut ainsi son plaidoyer en soulignant l’efficacité et le dévouement des deux joueurs, souvent invisibles mais essentiels au succès collectif de l’équipe.