Nouvelle-Zélande : alerte sur la pratique du « Run-it straight » !

La vague du "Run-it straight" fait des vagues : l’arène politique en émoi

Un défi funeste qui inquiète la Nouvelle-Zélande

Le "Run-it straight" sème le chaos bien au-delà des terrains de rugby. Ce vendredi, le gouvernement néo-zélandais est monté au créneau suite au décès tragique d’un jeune de 19 ans, victime de cette tendance virale. Le principe ? Un choc frontal à pleine vitesse entre deux participants. "Stoppez immédiatement ce challenge périlleux !" a tonné le chef du gouvernement, soutenu par les scientifiques.

L’ombre d’un nouveau défi dangereusement viral

Adieu les concours de claques ? Bonjour le "Run-it straight". Le Premier ministre néo-zélandais n’a pas mâché ses mots face à ce phénomène qui affole les réseaux. Des comptes aux centaines de milliers d’abonnés relayent ces collisions frontales, un jeu stupide, selon Christopher Luxon, chef de l’exécutif.

Des images qui inquiètent les spécialistes

Des chocs à vitesse folle, des jeunes qui s’évanouissent, et des conséquences dramatiques. Difficile de rester indifférent. Le docteur Alan Pearce, expert australien en neurosciences, tire la sonnette d’alarme : "Une folie pure ! Des centaines d’athlètes souffrent de blessures cérébrales graves, et ce que j’observe est effrayant."

Un gain à quel prix ?

20 000 dollars à la clé, mais à quel risque ? Les autorités locales à Mangere, banlieue d’Auckland, commencent déjà à réagir pour contrer ce "spectacle". Pourtant, la ligue professionnelle Run It Championship League vante ses "protocoles de sécurité stricts", pourtant, les participants s’engagent dans ces épreuves sans la moindre protection.

Stars du rugby et événements internationaux

Des figures emblématiques du rugby comme George Burgess et Nemani Nadolo renforcent le coup de projecteur sur cette dangereuse pratique. Les organisateurs prévoient de futurs événements en Angleterre, aux États-Unis, et en Arabie Saoudite. Un buzz international qui ne laisse personne indifférent.

Et vous, qu’en pensez-vous ? Sensations fortes ou mise en danger inconsciente ? La balance penche du mauvais côté, et le gouvernement néo-zélandais n’a pas fini de monter au créneau.

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