Le XV de France doit surveiller un talentueux joueur Toulousain !

Contexte actuel et perspectives ultérieures : Blair Kinghorn et la fin du Tournoi des Six Nations

Un duel décisif en approche : Écosse contre France

Suite à sa désignation comme meilleur joueur lors de la victoire de l’Écosse contre le pays de Galles, remportée 35 à 29, Blair Kinghorn nourrit déjà de grandes attentes pour la rencontre finale du Tournoi des Six Nations, programmée pour le samedi 15 mars contre la France. L’arrière, qui évolue au Stade Toulousain, ne cache pas sa détermination : « Ils viseront à gagner le Tournoi, mais notre objectif sera de perturber leurs plans. Ce match s’annonce exceptionnel ! », a-t-il déclaré avec une ferveur évidente après qu’il ait eu vent de la victoire des Français à Dublin, 42 à 27.

Blair Kinghorn : un atout de taille pour l’Écosse

La fin de semaine dernière, Kinghorn a offert une prestation remarquable devant les supporters à Édimbourg, marquant deux essais cruciaux et contribuant significativement au triomphe de son équipe. Cette brillante performance lui a valu d’être élu homme du match. « Il était fondamental de clore notre dernier face-à-face à domicile par une victoire », a-t-il insisté. Le match de samedi au Stade de France aura une signification particulière pour lui, car il croisera la route de plusieurs coéquipiers toulousains désormais rivaux sur le terrain. Dix joueurs du club rouge et noir devraient faire partie de l’équipe française : Mauvaka, Flament, Cros, Ntamack, et Ramos, avec Baille, Marchand, Aldegheri, Meafou, et Jelonch prévus pour sortir du banc.

Une dynamique positive pour un joueur redoutable

Kinghorn a démontré une forme éblouissante ces dernières semaines, enchaînant des performances de haut niveau. Déjà déterminant avec Toulouse le 1er mars face à Vannes, il a récidivé avec deux essais durant ce Tournoi, où il évolue en tant qu’arrière. Ce rôle lui convient particulièrement. « C’est le poste où je suis le plus à l’aise. J’évolue avec plaisir à l’aile, mais mon rendement est meilleur à l’arrière », avait-il confié en décembre.

Sous réserve de changements de dernière minute, Kinghorn devrait débuter pour la cinquième fois consécutive dans cette compétition, n’ayant pas manqué une seule minute jusqu’à présent. Cette constance et confiance représentent un défi de taille pour l’équipe de France, qui devra être sur ses gardes face à un adversaire d’une telle envergure.