Le départ inattendu de Laurent Labit du Stade-Français a suscité de nombreuses réactions et interrogations. Ce week-end, le club de la Capitale a confirmé cette séparation, provoquant une onde de choc parmi les supporters et les observateurs du rugby.
Communication précipitée
En effet, c’est Hans-Peter Wild, le propriétaire du Stade-Français, qui a révélé la nouvelle lors d’une interview avec le quotidien sportif L’Équipe. Cette déclaration inattendue a pris de court tout le monde, y compris l’entourage du club, car elle est intervenue avant que le club n’émette son propre communiqué officiel.
Surprise et contestation de Laurent Labit
Selon Midi Olympique, Laurent Labit a été surpris de la manière dont son départ a été rendu public, surtout qu’aucune entente concernant son indemnisation n’avait été finalisée. Face à cette situation délicate, le coach a fait appel à son avocat, cherchant à rectifier les faits. Son défenseur légal, Maître Chevalier, n’a pas tardé à envoyer une missive au Stade-Français, exigeant une régularisation rapide. De plus, il a précisé que Laurent Labit avait l’intention de se présenter à la prochaine session d’entraînement prévue au Camp des Loges.
Discussions en cours
Malgré la communication de son départ, Laurent Labit avait exprimé, par échange de mails avec la direction du club, une disposition à quitter prématurément son poste. Cependant, cet accord moral nécessite désormais une concrétisation sur le plan financier. Le Stade-Français demeure confiant quant à la résolution prochaine de ce dossier sensible et un arrangement à l’amiable devrait être négocié.
Affaire à suivre…
