Jeunes pépites australiennes de 16 ans arrivent en Top 14 !

Un vent de jeunesse souffle sur le Top 14, et ce vent-là, il vient de l’hémisphère sud. En effet, quelques jeunes pépites australiennes s’apprêtent à poser leurs valises en France. À peine sortis de l’adolescence, ces talents bruts s’apprêtent à métamorphoser les lignes des plus grandes équipes du championnat français. Des destinations déjà gravées dans les tablettes…

Quand les jeunes prodiges australiens prennent d’assaut le Top 14

Ces dernières semaines, le petit monde de l’ovalie bruissait des rumeurs. Des rumeurs confirmées : plusieurs jeunes espoirs venus d’Australie s’apprêtent à débarquer en fanfare chez nous. Le Midi Olympique l’avait annoncé : le Stade Rochelais s’est offert les services du très jeune et prometteur pilier Visesio Kite, à seulement 16 ans.

Autant dire que Montpellier n’a pas voulu rester sur le banc. Ils ont misé sur la jeunesse et sur le talent brut avec l’arrivée prochaine d’Adrian De Klerk, un talonneur du même âge que Visesio. Quant à l’Aviron Bayonnais, ils n’ont pas non plus perdu de temps : Declan Minto, un ailier qui a soufflé ses 18 bougies, s’apprête à signer chez eux.

Et ce n’est pas fini ! Le Stade Toulousain pourrait bien frapper fort avec Heinz Lemoto, un troisième ligne centre de 17 ans. Autant dire qu’on a hâte de le voir entrer sur le terrain.

Une Australie qui grince des dents

Mais ces transferts étincelants ne font pas que des heureux. En Australie, c’est la soupe à la grimace. Officiellement, la Fédération Australienne de Rugby n’a pas du tout apprécié cette vague de départs. Pour eux, le chemin de ces jeunes vers la France est un véritable casse-tête.

Le message est clair : « La France a largement les moyens de former ses propres joueurs ! Pourquoi piller notre vivier à peine éclos ? » s’insurgent-ils. Cela pourrait même déclencher des discussions houleuses au sein de World Rugby, question de fixer les règles une bonne fois pour toutes.

Voilà donc un dossier épineux qui pourrait animer les débats pendant un certain temps. Littéralement, le ballon est dans le camp du rugby mondial.

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