Le climat est électrique au sein de l’OM, et l’ambiance peine à s’apaiser. Pablo Longoria, à la tête du club, doit composer avec des tensions internes, surtout autour de l’épineux cas Fabrizio Ravanelli.
OM : Quand la direction tangue sous les turbulences
Ce n’est pas la promenade de santé à Marseille, malgré une nette victoire contre Brest (4-1) qui leur permet de rester bien accrochés à la deuxième place. En coulisses, c’est une autre histoire. L’OM est en proie à des querelles internes. Medhi Benatia, le boss du ballon rond à l’OM, a beau démentir tout accrochage avec Roberto De Zerbi, les rumeurs racontent une tout autre fable, bien plus chargée. Les couloirs bruissent de mots doux sur des désaccords concernant Mason Greenwood, Luis Henrique, et même, tenez-vous bien, des discussions autour du temps de repos des joueurs. L’entraîneur italien, d’ailleurs, ne serait pas avare en remontrances envers certains collègues de Benatia et pousserait son petit coup de gueule sur les recrutements ratés de l’hiver dernier.
Ravanelli, le mal-aimé de l’OM ?
Les remous ne s’arrêtent pas là. Les échos d’une mise à l’écart se précisent. Fabrizio Ravanelli, conseiller de Longoria, a dû rester au bord de la pelouse alors que l’équipe s’envolait pour un stage en Italie. Pressé de ne pas quitter Marseille, l’ex-star italienne est exhorté à se consacrer pleinement à ses tâches sur place. Un signe ? Peut-être une relation qui se refroidit sérieusement.
Pour redresser la barre, une qualification en Ligue des Champions serait idéale. Les Phocéens n’ont pas vraiment le choix : ces trois prochains matchs, ils doivent impérativement les remporter. L’enjeu est énorme et chaque point pèsera lourd dans la balance européenne.
