Osimhen, Lookmann ou Gyökeres : qui mérite 100 millions ?

Le Paris Saint-Germain est en quête urgente d’un avant-centre avant la fin de la période des transferts, pour compenser l’absence de Gonçalo Ramos, blessé.

Des options variées pour le PSG : trois cibles examinées

Le club parisien explore trois pistes distinctes, chacune présentant des avantages et des défis spécifiques.

Victor Osimhen, 25 ans : un investissement sécurisant mais coûteux. Le joueur nigérian a longtemps été désiré comme remplaçant potentiel de Kylian Mbappé. Doté d’un instinct de buteur aiguisé (76 buts en quatre ans avec Naples) et d’une maîtrise du jeu aérien et des deux pieds, il correspond parfaitement aux besoins du PSG. Néanmoins, les discussions avec Naples sont ardentes, le club italien exigeant 150 millions d’euros. Par ailleurs, Osimhen ne semble pas être la première préférence de Luis Enrique.

Ademola Lookman, 26 ans : une autre pépite nigériane. Star de l’Atalanta Bergame, Lookman a aidé son équipe à décrocher le titre en Europa League la saison passée. Avec 32 buts en 79 apparitions pour le club durant ses deux ans, il se présente comme une solution rapide et prolifique. De surcroît, son coût serait bien inférieur à celui d’Osimhen, avoisinant les 50 millions d’euros. Déterminé à rejoindre le PSG, Lookman a même commencé à exercer des pressions sur son club actuel pour faciliter son transfert. Cependant, il y a encore une autre option à considérer.

Viktor Gyökeres, 26 ans : l’espoir suédois à surveiller. Ce joueur rappelle un certain Erling Haaland et serait le favori de Luis Enrique. Évoluant actuellement au Sporting Portugal, Gyökeres a impressionné la saison dernière en marquant 44 buts en 51 matchs, certes dans le championnat portugais, mais cela reste remarquable. Il est celui dont les statistiques se rapprochent le plus de celles de Mbappé parmi les cibles envisagées. Attaquant puissant et habile dribbleur, Gyökeres représente certainement un talent encore sous-estimé en Europe. En ce qui concerne son transfert, il dispose d’une clause de libération fixée à 100 millions d’euros, un montant élevé mais qui éviterait de longues négociations.