Kevin Diaz a exprimé ses réflexions sur la situation actuelle de l’Olympique de Marseille, un club qu’il considère comme unique dans le paysage footballistique français.
Analyse de Kevin Diaz sur l’Olympique de Marseille
Lors de son intervention sur les ondes de RMC Sport, Kevin Diaz a partagé ses impressions concernant le début du mercato de l’Olympique de Marseille. Le journaliste s’interroge sur la visibilité et l’impact des événements de cet été, marqué par l’arrivée de Roberto De Zerbi à la tête de l’équipe marseillaise. Diaz s’explique : « Je ne suis pas certain que l’on mesure pleinement l’importance de ce qui se passe au sein de ce club, bien que les Marseillais en soient certainement conscients. On entend souvent dire que l’OM est un club à part. Les supporters de Paris ou de Lyon pourraient ne pas être d’accord, mais c’est une réalité ; aujourd’hui, Marseille est dirigée par l’un des meilleurs entraîneurs en Europe, voire au monde, indéniablement dans le Top 15 mondial. »
Diaz poursuit en questionnant les raisons qui ont poussé De Zerbi à choisir Marseille : « Pourquoi vient-il à Marseille ? C’est parce que le Vélodrome, avec son atmosphère incomparable et l’extraordinaire engouement autour de cette équipe, crée une attraction unique. C’est précisément pour cette ambiance, ce potentiel et l’histoire riche de ce club que De Zerbi a décidé de rejoindre l’OM. Si c’était Monaco, je ne suis pas sûr qu’il aurait fait le même choix. Il l’a clairement mentionné, c’est pour l’ambiance unique de ce club qu’il est là. »
Le consultant ajoute également que cette arrivée a un effet d’entraînement : « Et ensuite, d’autres joueurs décident aussi de venir parce que De Zerbi a choisi ce club. Où trouve-t-on cela ailleurs ? Ce phénomène est extrêmement rare dans le monde du football. »
Kevin Diaz a donc souligné l’attractivité unique de l’Olympique de Marseille, une attractivité qui attire non seulement de grands entraîneurs mais aussi des joueurs de talent, tous séduits par l’atmosphère et la passion qui entourent ce club historique.
