L’OL au bord du gouffre : le chaos règne après Manchester et Saint-Étienne !
Une spirale infernale pour l’Olympique Lyonnais
L’OL est au bord de l’implosion ! Sportivement à la dérive, ses dirigeants se déchirent aussi en coulisses. L’équipe de Paulo Fonseca, absente sur le terrain et maladroite en dehors, doit affronter la tempête d’une fin de saison sous haute tension, tout en essuyant les critiques acerbes dirigées contre le coach.
Une nouvelle secousse a secoué le club cette semaine avec une altercation révélée par RMC Sport entre John Textor et Laurent Prud’homme. Suite à la débâcle spectaculaire face à Manchester United (5-4) à Old Trafford, ça chauffe dans les hautes sphères lyonnaises ! Et la défaite de dimanche dernier, à Geoffroy-Guichard face à l’ASSE (2-1), n’a rien arrangé. En milieu de classement malgré les efforts, Lyon pointe désormais à une 6e place frustrante, dépassé par Lille et Nice pour la course à la Ligue des champions.
Fonseca, en première ligne des critiques, surtout après la gifle mancunienne. D’accord, il était en tribunes durant le derby, laissant la main à son adjoint Jorge Maciel. Mais c’est bien lui qui a préparé la mission impossible face à Saint-Étienne. La crise s’amplifie après l’échec en Ligue Europa, une compétition où l’OL espérait briller. Les rêves européens envolés, toute victoire est obligatoire sur les quatre dernières journées pour espérer atteindre le podium.
Et que dire du tollé quant à la titularisation surprise de Paul Akouokou plutôt que Nemanja Matic contre MU ? Un pari risqué qui laisse l’entraîneur sous le feu des critiques. On lui reproche de ne pas avoir su garder la tête froide dans les moments clés, à l’image des propos cinglants de Nicolas Puydebois : "On veut du sang-froid, un coach avec la froideur du tueur. Fonseca a crié victoire trop tôt !"
Un avenir incertain pour Fonseca et ses hommes
Le coach portugais peut-il encore redresser la barre ? Lacazette, célébrant déjà la victoire après un penalty, a vu Fonseca désapprouver ses attitudes prématurées. Effusions malheureuses quand la mission n’était pas encore accomplie. Mais que faire sinon gagner face à Rennes, Lens, Monaco et Angers ? Autant dire que la tâche s’annonce ardue. Les supporters l’ont bien compris : le salut ne passera que par des exploits retentissants sur le terrain !
