L’ultime espoir de l’ASSE de rester au chaud en Ligue 1
Dernière chance pour les Verts : Horneland et Appiah ne lâchent rien !
Accrochez-vous, ça passe ou ça casse pour l’ASSE. Le club est 17e avec un maigre total de 27 points. La situation est critique, mais tout n’est pas encore perdu. Eirik Horneland, l’entraîneur, et le joueur Dennis Appiah s’agrippent à la moindre lueur d’espoir. Les calculs sont simples : soit les Verts s’en sortent sur le fil, soit ils plongent vers la Ligue 2. Le suspense est à son comble pour la fin de cette saison.
L’entraîneur d’un regard déterminé déclare : « Il faut gagner les deux rencontres qui restent, être intraitable en défense et explosif en attaque. Et surtout, croire, toujours y croire. Les gars doivent être mentalement prêts. Jouer pour ce club, c’est une noble mission, et ces deux matchs, c’est un sacré hameçon à attraper. » Après la claque reçue contre Monaco (1-3), la bataille est rude.
Tout comme Horneland, Appiah rêve d’une issue miraculeuse : « Deux matchs, six points. Tout peut encore basculer. »
Les scénarios pour un maintien de l’ASSE
Petite lueur d’espoir pour les fans : finir à la 15e place ou, plus réaliste, passer par les barrages en 16e position. Pour que l’ASSE conserve sa place en Ligue 1 directement, il faudra battre Reims et Toulouse. Mais aussi espérer que Le Havre et Nantes ratent leurs derniers rendez-vous. C’est peu dire que la probabilité de ce scénario est infime, un maigre 0,48 % selon Opta. Alors, il faudra y mettre du cœur au ventre.
Pour finir en tant que barragiste, la formule est identique : six points impératifs, pendant que Le Havre doit se contenter d’un pauvre point, ou même aucun pour les Nantais. Sinon, ce sera tout droit en Ligue 2 pour l’une de ces équipes.
L’ASSE reléguée si…
Tout pourrait basculer rapidement. Une défaite contre Reims lors de l’avant-dernier match signerait presque leur descente en Ligue 2. Et même en gagnant à Reims, l’angoisse demeure. Si Le Havre surprend Marseille et si Nantes arrache un point contre Auxerre, les Verts pourraient dire adieu à l’élite.
Bref, Horneland et ses hommes flirtent avec le précipice. Et c’est peu dire que la tension monte, aussi bien sur le terrain qu’en tribune. L’heure est grave pour les supporters. Allez les Verts, la mission semble impossible, mais c’est le moment de se lever.
