Dans l’édition récente de Forbes, on retrouve Tony Parker au classement des individus les plus riches de France. Cependant, l’ex-star de l’équipe des Spurs se souvient encore des moments difficiles de son enfance, notamment lorsque les agents de recouvrement frappaient à la porte de la famille.
Agathe Teyssier est visiblement comblée par sa relation avec Tony Parker. Elle a récemment partagé avec fierté la couverture de Forbes présentant Tony Parker comme le « Champion de la conversion ». Bien que Tony Parker ne figure pas sur la liste des milliardaires de Forbes de cette année, il détient une fortune impressionnante.
Avec une carrière NBA couronnée par quatre titres de champion et enrichie par ses partenariats publicitaires, Tony Parker a accumulé environ 150 millions de dollars. À cela s’ajoute le succès de sa transition professionnelle post-NBA, avec notamment la direction de l’ASVEL, et divers investissements dans le vin, les stations de ski, les technologies émergentes et la musique, élevant sa fortune personnelle à quelque 500 millions d’euros, selon des estimations de certains experts.
L’ex-joueur de basket a ainsi pu s’offrir des luxes tels qu’un yacht d’une valeur proche de 10 millions d’euros l’année dernière. Cependant, originaire d’une famille modeste à Bruges, il reste ancré dans les valeurs de ses débuts. Comme il l’a exprimé dans une émission télévisée récente, ses parents lui ont inculqué l’importance de se souvenir de ses origines et de rester humble, malgré les succès.
Le passé, une motivation pour Tony Parker
Tony Parker évoque un souvenir marquant de son enfance : la visite d’un huissier à son domicile pour saisir des biens. Ces moments difficiles, vécus à l’âge de neuf ans, lui ont laissé des cicatrices mais ont également forgé sa détermination et sa réussite future.
Malgré sa fortune, pour Tony Parker, l’argent n’a jamais été une fin en soi. Il critique d’ailleurs la mentalité de certains jeunes axée principalement sur la richesse et la célébrité, en soulignant que sa passion pour le basket l’a toujours guidé pour les bonnes raisons. Il regrette que beaucoup s’interrogent d’abord sur les avantages matériels du sport professionnel, plutôt que sur l’essence même et les techniques du jeu.