Une fois de plus, Iga Swiatek s’est imposée contre Coco Gauff à Roland-Garros, reprenant le dessus dans un match qui s’est joué en demi-finale cette année. Conservant le même écart que l’année précédente, Swiatek a confirmé son statut de favorite indiscutable du tournoi grâce à une performance remarquable.
Swiatek confirme sa supériorité face à Gauff
Dans une rencontre qui n’a duré un peu plus de quatre-vingt-dix minutes, Iga Swiatek a une fois de plus démontré pourquoi elle est l’une des forces dominantes du tennis féminin, en venant à bout de Coco Gauff avec des scores de 6-2 et 6-4. D’emblée, la joueuse polonaise a imposé un rythme effréné, ne donnant aucune chance à son adversaire américaine de trouver ses marques sur le court. En anticipant tôt chaque frappe et en utilisant la puissance de ses coups, Swiatek a littéralement étouffé Gauff.
Tentant de reprendre l’initiative au deuxième set, Gauff a tout de même montré des signes de résilience, mais a été trahie par la constance de son jeu, accumulant à son désarroi un total de 36 fautes directes. Ces erreurs lui ont coûté cher face à une adversaire de la trempe de Swiatek, qui s’est ainsi assurée une place en finale, avec l’ambition claire de remporter son troisième titre consécutif à Roland-Garros. Cette performance renforce l’hégémonie de Swiatek sur la terre battue, s’affirmant une fois de plus comme la reine incontestée de cette surface.
Par ailleurs, le parcours vers la finale a réservé son lot de surprises, notamment avec l’élimination inattendue d’Aryna Sabalenka et d’Elena Rybakina, deux concurrentes sérieuses que beaucoup attendaient en finale aux côtés de Swiatek. Alors que le suspense demeurait quant à l’identité de l’adversaire finale de Swiatek, le choix s’est finalement porté entre Jasmine Paolini, l’Italienne au parcours impressionnant, et Mirra Andreeva, la prodige russe de 17 ans, promettant ainsi une finale pleine d’incertitudes et d’espérances.
Tout compte fait, cette victoire de Swiatek sur Gauff, répétant le scénario de l’année précédente mais cette fois en demi-finale, confirme le statut de Swiatek non seulement comme la main dominante de ces compétitions, mais aussi comme une icône du tennis moderne, capable d’imposer sa loi sur la terre battue de Roland-Garros avec une aisance et une détermination inégalées.