Sinner bat Zverev, conserve son titre aux Internationaux d’Australie

Jannik Sinner écrit une nouvelle page de l’histoire du tennis à Melbourne. La ville australienne de Melbourne a été témoin d’un événement mémorable alors que le numéro un mondial, Jannik Sinner, a confirmé son statut en remportant pour la deuxième fois consécutive les Internationaux d’Australie. Sinner a triomphé face à Alexander Zverev, deuxième au classement mondial, marquant pour Zverev une troisième finale infructueuse en Grand Chelem.

Sinner s’impose en finale avec brio

L’Italien de 23 ans a livré une performance exceptionnelle, s’imposant en trois sets, 6-3, 7-6 (4), 6-3, lors de ce premier grand tournoi de l’année. Cette victoire lui permet d’ajouter un troisième titre de Grand Chelem à son palmarès, après avoir été victorieux aux Internationaux des États-Unis en 2024.

Cette réalisation fait de Jannik Sinner le joueur italien le plus titré dans les quatre tournois majeurs du tennis mondial. Il dépasse ainsi Nicola Pietrangeli, qui avait remporté Roland-Garros à deux reprises, en 1959 et en 1960.

Une année 2024 marquante pour Sinner

L’année 2024 a été synonyme de nombreux accomplissements pour Sinner. Il était devenu le premier Italien à triompher aux Internationaux d’Australie en 2024 et à atteindre le sommet du classement mondial. La victoire de dimanche lui offre une 21e victoire consécutive, ce qui constitue sa plus longue série de succès à ce jour.

Zverev face à un nouvel échec en finale

Pour Alexander Zverev, cette finale des Internationaux d’Australie signe une nouvelle déception. Après avoir échoué lors des finales aux Internationaux des États-Unis en 2020 et à Roland-Garros en 2024, il enregistre maintenant une troisième défaite en match décisif de Grand Chelem.

Boris Becker demeure le dernier joueur allemand à s’être illustré dans un tournoi majeur, ayant conquis les Internationaux d’Australie en 1996. Malgré la défaite de Zverev, celui-ci conserve tout de même l’avantage dans ses confrontations directes avec Sinner, avec quatre victoires contre trois. En Grand Chelem, cependant, les deux joueurs sont à égalité avec deux victoires chacun.

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