Sa première union, avec Pierre-Yves Hardenne, s’est terminée par une rupture qui s’est avérée être particulièrement onéreuse.
Justine Hénin se prépare à rejoindre une fois de plus l’équipe de France Télévisions à l’approche de Roland-Garros. Ayant mis fin à sa carrière sportive en 2011, elle fera partie des commentateurs phares du tournoi, que ce soit en compagnie de Laurent Luyat sur La Terrasse ou en offrant son expertise lors des matchs. La Belge, ancienne leader mondial du tennis féminin, contribue souvent en tant qu’analyste pour le réseau public ainsi que pour Eurosport.
Après une courte période dans l’équipe d’Elena Svitolina en 2016, Hénin a décidé de se concentrer sur sa vie personnelle. Mère de deux enfants, Lalie et Victor, nés respectivement en mars 2013 et en mai 2017, elle a trouvé un équilibre familial aux côtés de Benoît Bertuzzo, un acteur français et son deuxième époux, avec qui elle a uni sa vie. Ces deux naissances marquent des moments clés dans la vie de la gagnante de neuf titres du Grand Chelem.
## L’appartement à Monaco, l’avion privé et les 6,5 millions d’euros…
Avant sa rencontre avec Bertuzzo, Hénin a été mariée cinq ans à Pierre-Yves Hardenne. Ce premier mariage s’est soldé par un divorce onéreux pour l’ex-joueuse de tennis. Comme le rapporte la presse belge, la justice monégasque a exigé d’elle le paiement de 6,5 millions d’euros en plus de la cession d’un avion privé et d’un appartement de luxe situé à Monaco à son ex-mari.
Face à cette affaire, Hénin a choisi de garder le silence sur sa vie privée, exprimant clairement son désir de ne plus évoquer cette période de sa vie et de rester à distance de toutes les rumeurs. Elle a souligné son indifférence et le manque total de communication avec Hardenne, en affirmant : « Je ne commenterai pas davantage, car cela touche à la sphère privée. Je n’ai rien à ajouter. Les rumeurs sont ce qu’elles sont… Je ne veux plus entendre parler de cette histoire, ni m’exprimer à ce sujet. Depuis un moment déjà, notre contact est inexistant. Nous ne nous parlons plus du tout. »