Alcaraz et Sabalenka dominent sans conteste : une démonstration de force

Carlos Alcaraz et Aryna Sabalenka, les têtes brûlées du Foro Italico

Alcaraz, de retour et en pleine forme

Carlos Alcaraz, ce jeune prodige espagnol classé 3ème mondial, a fait taire les inquiétudes en atomisant vendredi le Serbe Dusan Lajovic. En seulement 1h23 de jeu, le voilà qui expédie Lajovic, classé 131ème, avec un double 6-3 au 2ème tour du prestigieux Masters 1000 de Rome. Après avoir zappé Madrid à cause d’une vilaine blessure à l’adducteur droit, le bougre n’a pas semblé gêné. Certes, il arborait une belle cuissière noire, mais « c’est par précaution », a-t-il rassuré en conférence de presse. Avec déjà neuf victoires d’affilée sur terre cette saison et un titre décroché à Monte-Carlo, il est chaud comme la braise. Prochain sur sa route ? Vainqueur entre Laslo Djere et Alex Michelsen.

Dimitrov, des ratés en série

Et pendant que tout va bien pour Alcaraz, Grigor Dimitrov continue de traîner son spleen à Rome. Face à l’Italien Francesco Passaro, invité surprise et 101ème mondial, le Bulgare a pris la porte d’entrée : défaite 7-5, 6-3. Dimitrov, 33 ans et 15ème mondial, n’en finit plus de déplorer son manque de succès au Foro Italico. Depuis sa demi-finale de 2014 et son quart de 2020, le Bulgare ne fait que collectionner les contre-performances, même s’il avait montré de belles choses à Monte-Carlo et Madrid récemment.

Sabalenka, la reine du court

La numéro 1 mondiale Aryna Sabalenka a également fait sensation vendredi en prenant aisément le dessus sur la Russe Anastasia Potapova. Elle a plié le match 6-2, 6-2 avec un aplomb déconcertant. L’an dernier, Sabalenka avait échoué en finale face à Iga Swiatek, mais cette fois-ci, elle est bien décidée à ne rien lâcher. Adaptation express aux conditions romaines ? Check ! Prête pour le 3ème tour contre Sofia Kenin, cette Américaine coriace 41ème mondiale. Malgré tout, Sabalenka part confiante, car elle a déjà battu Kenin trois fois sur quatre. Quatre finales consécutives, deux titres à Miami et Madrid… Aryna, la machine de guerre, est toujours en marche.

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