Bien sûr, voici une réécriture :
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Sous un ciel radieux, le Grand Prix de Grande-Bretagne a offert un spectacle MotoGP riche en émotions et en rebondissements. Les spectateurs ont été témoins d’une série de chutes, de recommencements sous drapeau rouge et de retournements de situation imprévus. Dès le départ, le chaos est semé par les frères Márquez, mais c’est finalement un redémarrage qui a permis à plusieurs pilotes de se ressaisir. Marco Bezzecchi a triomphé au terme d’une lutte intense et d’inversions de positions palpitantes sur la grille de départ.
Grand Prix de Grande-Bretagne : Un enchaînement explosif sur le bitume !
Dimanche dernier, le soleil brillait au-dessus du circuit du Grand Prix de Grande-Bretagne, et tout semblait lumineux pour les pilotes… jusqu’au coup de canon du départ. Alex Marquez, étincelant au warm-up, prend un excellent départ et s’empare de la tête. Mais voilà, première surprise : il chute au virage 1, offrant la première place à son frère, Marc Marquez, avec Fabio Quartararo accroché derrière.
L’accident de départ déclenche un drapeau jaune dans le secteur 1, pendant que Jack Miller fait son show en grimpant à la sixième place. Devant, Marc Marquez s’emploie à défendre sa position, tandis qu’un combat féroce pour la seconde place oppose Quartararo et Francesco Bagnaia.
D’autres surprises se glissent dans la course : nouvelle interruption dans le secteur 4, avec des chutes d’Enea Bastianini et Aleix Espargaró. Bastianini, déjà condamné à une double pénalité longue durée au Mans, rend les armes.
Juste avant que l’on ait le temps de souffler, Marc Marquez s’écroule alors qu’il est en tête. Frères Marquez au tapis ! La direction de course brandit le drapeau rouge, une traînée d’huile ayant semé le chaos sur la piste. Le spectacle est suspendu un moment.
Le restart est donné, une aubaine inespérée pour ceux qui ont déjà goûté au goudron. Un départ express est programmé à 14 h 20, réduisant l’épreuve à 19 tours. Mais même ce nouveau départ connaît quelques soubresauts.
Lors de la reprise, Alex Marquez démarre fort, mais c’est Bagnaia qui dame le pion au virage 1. Quartararo se joint à la fête et s’empare de la tête. Miller, lui, s’est hissé à la quatrième position tandis qu’Alex rétrograde.
Marc Marquez, quant à lui, tient bon à la troisième place, suivi de près par Johann Zarco, étonnante sixième position. Fermín Aldeguer, lui, s’embrouille et perd quelques rangs. Zarco dépasse Alex Marquez par l’extérieur, affichant une ambition sans limites.
Jack Miller subit un revers, et voilà que Bagnaia récupère la 2e place. La performance des Yamaha est remarquable. C’est une valse de dépassements, et Marc Marquez commet une bourde qui permet à Zarco de le doubler. Franco Morbidelli, pourtant déjà en difficulté, s’offre une remontée en 10e place.
Zarco, en verve, passe Bagnaia et Marc dans la foulée, repoussant Bagnaia à la cinquième place. Quartararo prend ses aises avec une avance de plus de 2 secondes, descendant sous les 2 minutes.
Les pilotes Ducati commettent des erreurs de débutants, glissant à la 9e et 10e places. Quatre tours et déjà tant à raconter ! Bezzecchi grimpe à la quatrième place après avoir doublé Alex Marquez, alors que Bagnaia tombe et quitte la scène, déclenchant un autre drapeau jaune.
La lutte pour le podium s’intensifie entre Bezzecchi et Zarco. Mais Bezzecchi s’empare rapidement de la troisième place. Marc, remontant, atteint la huitième place.
En tête, Quartararo accroît son avance à plus de 4 secondes sur Miller. Puis Bezzecchi fond sur Miller, le doublant pour la 2e place, avec Zarco à ses trousses, reléguant Miller au 4e rang. Morbidelli, sans le reste, aurait été absent, est désormais quatrième.
Marc Marquez, mordant, atteint à nouveau la 6e place, tandis que Miller recule derrière lui. Morbidelli, opportuniste, ravit à Marc la 4e place. Et là, coup de théâtre technique pour Quartararo, qui doit abandonner, cédant la tête à Bezzecchi.
Pas question pour Miller de lâcher prise. Il tape à la porte de Marc pour la 3e place, mais Morbidelli surgit pour le passer. Alex Marquez également. Pourtant, Miller refuse de se laisser éclipser et se rebiffe au virage suivant.
Maverick Viñales reçoit un avertissement pour les limites de piste pendant qu’Alex tente un autre coup, sans succès.
À trois tours de l’arrivée, Bezzecchi mène avec 4 secondes d’avance, et Alex Marquez parvient à prendre l’ascendant sur Miller. Une erreur de Miller permet à Pedro Acosta de le dépasser aussi.
Calme apparent à deux tours de la fin, mais Morbidelli rôde toujours derrière Marc, prêt à en découdre pour le podium. Il passe devant, avant de céder encore, les positions fluctuant jusqu’au dernier souffle. Au sprint final, Marc s’empare de la deuxième position, contre toute attente, après une bagarre acharnée.
Ce qu’on retient ? Marco Bezzecchi empoche la victoire, ajoutant son nom à la liste des 11 gagnants différents à Silverstone. Une course où le suspense s’est maintenu jusqu’à l’extinction des feux. God Save the Bez, comme on dit !