Thomas Ramos admet avoir eu des problèmes à cause de son poids : Détails !

Le XV de France s’apprête à affronter une étape clé dans le Tournoi des Six Nations en se mesurant à l’Irlande ce samedi à Dublin. Cette rencontre suscite de grandes attentes, notamment avec la participation de Thomas Ramos, l’arrière français qui a largement partagé ses réflexions avec le public via le journal Le Parisien.

Un duel prometteur entre la France et l’Irlande

À quelques jours de cette confrontation décisive, Thomas Ramos, qui est proche de surpasser le prestigieux record de points inscrits sous les couleurs de l’équipe française détenu par Frédéric Michalak, a partagé ses perspectives passionnantes sur cette compétition imminente face aux Irlandais.

Débuts et croissance dans le rugby

Les souvenirs d’enfance de Ramos commencent à Mazamet, là où son aventure rugbystique a pris naissance à l’âge de cinq ans. Dans ses récits, il décrit les premiers entraînements marqués par des équipements non ajustés, des terrains bondés d’enfants et une seule ambition : franchir la ligne d’en-but. Ce club, bien que modeste, bénéficiait de bons équipements et d’un soutien bénévole considérable. Ramos se remémore avec émotion ses premières victoires telles que le challenge des remparts à Carcassonne, véritables moments de bonheur.

Une famille ancrée dans le rugby

Ramos a grandi entouré de passionnés, son père ayant autrefois joué en position de troisième ligne, et même s’il a été son entraîneur pendant des années, ses parents ne l’ont jamais forcé à poursuivre ce chemin. En effet, sa mère hésitait initialement face aux risques associés au rugby, préférant peut-être voir son fils pratiquer une activité moins dangereuse. Malgré ces réticences, elle s’est adaptée à cette passion prédominante. Le fait que son père ait été son mentor a offert un soutien précieux, même si cela a parfois entraîné des tensions à domicile.

L’évolution vers le haut niveau

L’année 2011 marque un tournant dans la carrière de Ramos avec son intégration au pôle Espoirs de Jolimont à Toulouse. Rapidement, il s’est vu promettre des entraînements avec les élites du Stade toulousain, ce qui a été préféré au déplacement à Paris pour le pôle France. Se confronter à des joueurs de haut niveau était une opportunité de développement inestimable. Cependant, il a dû faire face à des défis physiques, notamment le besoin de prendre de la masse corporelle, un obstacle qu’il a surmonté après une blessure à 20 ans.

Le rugby : plus qu’un sport, une passion

Pour Ramos, la notion de plaisir reste centrale dans sa pratique du rugby. Il considère sa carrière comme un privilège, voyant chaque match comme un moment ludique plutôt qu’une contrainte professionnelle. Reconnaissant que sa profession n’est pas celle de gens ordinaires mais une passion devenue métier, il admet néanmoins que les engagements constants peuvent être éprouvants. Pour équilibrer sa vie, il s’ouvre à d’autres horizons comme l’immobilier, ce qui lui donne l’occasion de diversifier ses expériences et élargir ses relations.