Le Stade Toulousain dans la tourmente : Didier Lacroix monte au créneau !
Cette semaine, le président du Stade Toulousain, Didier Lacroix, a pris la plume pour défendre son club dans le tumulte entourant le transfert de Melvyn Jaminet. Au cœur de la polémique : des contournements du Salary Cap et une note salée de 450 000 euros pour l’arrière français. Rien que ça !
Le coup de gueule de Lacroix
Didier Lacroix n’a pas mâché ses mots. Accusant les médias de malmener la vérité, il dénonce une déformation constante des faits. "Faut dire, on s’est un peu fait avoir en filant les clés à des prestataires peu fiables", avoue-t-il amer. Il pointe du doigt une erreur de vigilance, reconnaissant que son club aurait dû jouer carte sur table avec le salary-cap manager bien plus tôt. Et l’affaire devient encore plus piquante avec la société Pacific Heart en toile de fond.
La réponse musclée du journal
L’Équipe n’a pas tardé à riposter. Selon eux, le flou subsiste du côté de Toulouse. Pourquoi cette confiance aveugle envers Arnaud Dubois, ex-avocat lié à Mourad Boudjellal, devenu président du Biarritz Olympique ? L’absence de clarté sur cette relation intrigue. "Pourquoi rester muet ? Qu’est-ce qui se cache derrière tout ça ?" s’interrogent les journalistes. L’interconnexion entre Dubois, avocat de Jaminet et un des conseillers du Stade, aurait dû titiller les dirigeants bien plus tôt, non ?
Communication en sourdine
Et ce n’est pas faute d’avoir essayé d’obtenir des réponses ! L’Équipe rappelle ses multiples tentatives de contact avec Didier Lacroix. Silence radio. "On nous avait promis des explications qu’on attend toujours", soulignent-ils. Chaque sollicitation restait lettre morte, le président jugeant même leurs démarches "excessives". Bref, une affaire qui sent la poudre et dont le dénouement est encore incertain.
Les prochains jours nous diront si l’orage va se dissiper ou s’amplifier. Une chose est sûre, le Stade Toulousain est en pleine tempête et Didier Lacroix, en capitaine de bord, doit trouver le bon cap.
