Une victoire qui change tout. L’Union Bordeaux-Bègles vient de décrocher un titre en Champions Cup, et son président, Laurent Marti, se lâche dans une interview. Faut dire que ce n’est pas tous les jours qu’on voit ça ! Ce patron du rugby bordelais n’hésite pas à partager ses réflexions, ses ambitions et ses avertissements. Plongée dans un discours passionné.
Le Graal de la première fois
Attraper son premier titre, c’est une affaire d’artificiers. Pour Marti, le plus grand défi est de garder la flamme allumée. « Le premier trophée, c’est dur. Mais enchaîner, c’est un autre combat. Attention à la décompression après la fête ! Toulouse a une culture du rugby bien rodée, il est temps qu’on s’en inspire ici. »
Merci, les partenaires !
Marti sait remercier ceux qui font vivre le club. « Les partenaires, c’est le carburant. Ils couvrent pratiquement 50 % du budget. Chaban-Delmas a ses limites, mais on doit innover. L’avant-match mérite d’être un moment fort, pas juste l’après. On va les surprendre ! »
Pas de flambée des prix
Pas question de revoir les tarifs à la hausse après ce succès européen. Laurent Marti explique : « Les prix restent stables. Si on augmente avec les bons résultats, il faudra les baisser si ça se gâte. C’est une question d’équilibre. Un titre, ça booste la confiance, c’est essentiel pour garder et attirer de bons joueurs. »
Cap sur le bilan positif
L’UBB surfe clairement sur la vague. « Pour la troisième année de suite, on affiche un bilan positif. On investit dans l’avenir, car devinez quoi ? Les tempêtes reviennent vite. La stabilité financière, ça se construit maintenant. »
Laurent Marti sait où il veut mener l’UBB, et il a déjà les yeux fixés sur les défis de demain.
