Maxime Lucu : son rituel étonnant avant les matchs !

Dans les coulisses du vestiaire de l’UBB : rituel, tension et esprit d’équipe

Maxime Lucu dévoile les secrets du vestiaire girondin

Maxime Lucu, capitaine de l’Union Bordeaux-Bègles, nous ouvre les portes du vestiaire avec une franchise désarmante. C’est un monde bien différent que celui de la pelouse, où routines et tempéraments façonnent les guerriers du rugby.

À la veille de la grande finale de la Champions Cup contre Northampton, le demi de mêlée s’est confié sur le quotidien de l’équipe, entre rituels et manies.

Les inséparables et l’art de rester zen

Quand on parle d’ambiance cool, le trio Penaud, Depoortere, et Bielle-Biarrey est en tête d’affiche. Lucu plaisante : « Ils parlent d’échecs, même à une heure du coup d’envoi ! » Une décontraction presque provocante, mais qui leur permet de se mettre dans le bain au bon moment. Parfois, Nans Ducuing les rejoint, ajoutant une note de calme avant la tempête.

La rigueur à l’épreuve des retards

Tout n’est pas si détendu, cependant. La ponctualité, c’est sacré ! Mais certains retardataires, comme Sipili, Penaud et Bielle-Biarrey, poussent le timing : « Ils débarquent à 29 quand on doit partir à 30. Ça stresse tout le monde. »

Penaud, le taiseux emblématique

Si Damian Penaud est surnommé “le taiseux”, c’est qu’il se distingue par sa discrétion avant le match, sortant toujours juste avant les avants. Malgré cette réserve, il éclate sur le terrain, à sa manière bien à lui.

Quand la tension monte

Certains préfèrent la pression. Jefferson Poirot aime faire monter la tension jusque dans le tunnel. Clément Maynadier, “le dernier des Mohicans”, ne jure que par des préparations musclées.

Les rituels s’en mêlent : Falatea et Moefana prient avant de passer le maillot. Quant à Lucu, jamais sans son message à sa copine et sa famille. Des gestes qui aident à se recentrer.

Des personnalités contrastées

Bielle-Biarrey, de son côté, laisse parfois le stress le submerger jusqu’à devoir quitter précipitamment pour évacuer. Mais sur le terrain ? Impeccable. À l’opposé, Depoortere et Ducuing semblent flotter dans la tranquillité.

« Pablo Uberti, Connor Sa, ils ont besoin de sentir le soutien du groupe. Romain Buros aussi, parfois. »

Les leaders de l’ombre

Enfin, les leaders naturels : Vergnes-Taillefer, Poirot, et Lamothe se partagent la parole. Lucu, lui, choisit ses moments, parlant juste avant de fouler le terrain.

Sous l’armure de chaque joueur, il y a un rituel, une angoisse, ou une routine qui anime ce collectif extraordinaire. Maxime Lucu, le chef d’orchestre, veille sur cette symphonie d’hommes, d’émotions, et de préparation.

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