Maxime Lucu : « Carte blanche à Jalibert, joue librement ! »

Un après-midi mémorable pour l’UBB : Jalibert et Lucu en pleine lumière

À l’Union Bordeaux-Bègles, on parle encore de cet après-midi où Matthieu Jalibert et Maxime Lucu ont éclipsé le Stade Toulousain en demi-finale de la Champions Cup. Résultat : 35-18, un score qui claque et une prestation qui fera date.

Lucu frappe fort avec une pénalité titanesque

Maxime Lucu sait comment marquer les esprits, et comment ! Cette pénalité dingue, tirée à 58 mètres, a scellé l’affaire. Pas de doutes, ce moment restera gravé chez les Bordelais. Lucu, d’après ses confidences, n’a pas hésité une seconde face à ce défi.

« Grattage, on y va ! Hier à l’entraînement, c’est passé. Allez, on tente ! Je l’ai senti direct, pas de question », lâchait-il avec une assurance contagieuse.

Jalibert, le danseur sur le terrain

Quant à Jalibert, c’est un autre exploit face à Ange Capuozzo qui a retenu l’attention. Le Toulousain arrivait vite, trop vite peut-être, et Matthieu a su en profiter avec une esquive magistrale, ouvrant la voie à ses coéquipiers, Louis et Pete, pour finir le boulot.

Il n’oublie pas de remercier ses avants : « Les gros ont fait un boulot exceptionnel ». Parce que sans cette maîtrise collective, rien n’est possible.

Lucu, le maître plaqueur

Derrière, Maxime Lucu ne s’est pas contenté de briller en attaque. En défense, il a plaqué comme jamais, jusqu’à 16 fois. Impressionnant le Lucu ! Lamothe le disait bien : « Maxime, on ne le présente plus, c’est notre muraille. »

Leadership et complicité

Dimanche, c’était jour de gala pour Bordeaux. Lucu le chef d’orchestre avait décidé de mener tout le groupe dans une symphonie de refus de la défaite. « On ne perd pas aujourd’hui », telle était la consigne. Et pour Jalibert, c’était carte blanche : joue ton jeu, régale-nous !

Du côté de Jalibert, l’application était de mise. Un jeu soigné, des basiques maîtrisés, et un regard tourné vers l’objectif. Peu de déchets, une satisfaction personnelle en crescendo.

Yannick Bru, leur coach, saluait cette maturité : « Matthieu, c’est notre meneur, il a grandi, il guide, il inspire. »

La victoire de Bordeaux ne se résume pas à quelques actions d’éclat, c’est un travail d’équipe, une stratégie payante. Bravo messieurs, Bordeaux n’a jamais été aussi fier !

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