Ils se cherchent, mais se trouveront-ils ? Les clubs franciliens en ébullition.
Une fusion pas si évidente
Deux formations de rugby franciliennes en Nationale exploreraient une idée audacieuse : fusionner leurs équipes phares. Oui, vous avez bien lu. Mais attention, tout ça reste pour l’instant autant visible qu’un pilier dans un essai d’arbitrage vidéo.
Des discussions sous le manteau
Selon le Midol, les deux clubs auraient commencé à papoter de cette possible alliance. Une petite causette qui suscite autant de questions que de rumeurs. Pour l’instant, c’est du chatter à l’état pur, niveau top secret. T’imagines bien que ça brasse du monde côté micro et dictaphone !
Les clubs dans l’attente
Chez Massy, c’est la prudence qui l’emporte. On préfère causer d’avenir local, de formation, et pas forcément d’union avec le voisin qu’on connaît à peine. Dans les coulisses, les présidents échangent des idées, mais rien n’est gravé dans le marbre. On est encore loin du faire-part de mariage !
Joueurs pris de court
Ah, les joueurs… Eux, ils tombent des nues ! Comme le révèle Le Parisien, en pleine pause estivale, aucun bruit dans les vestiaires, rien dans les chaussettes. Niveau logistique, c’est brouillard total. Où vont-ils jouer ? Quel staff pour les encadrer ? Que deviennent les infrastructures ? Beaucoup d’interrogations, peu de réponses.
Une échéance qui presse
Pour que tout ce beau monde fusionne dès 2026-2027, il faudrait presque un sprint. Document d’inscription à déposer avant le 1er janvier 2026 : une course contre la montre qui rappelle le stress d’une fin de match à suspense.
Pourquoi cette idée ?
Les résultats récents expliquent peut-être cette envie. Massy, 7e cette année, touche les play-offs du bout des doigts, tandis que Suresnes flirte avec la relégation. On parle de budgets serrés pour ces clubs pieds-nickelés du Racing 92 et du Stade Français. Aligner les billets et les efforts, une solution envisageable, mais pas facile à vendre.
Les voix dissidentes
Sur le terrain, certains à Massy posent une grosse colle sur l’intérêt de cette union. Question d’identité, de fierté locale : un club ancré dans l’Essonne, pas si simple de l’emmener à l’autel…
En résumé, l’idée n’est pas morte dans l’œuf, mais elle n’a pas non plus encore mis un pied devant l’autre. On resté en plein brouillard, avec des voix internes qui la jugent trop embryonnaire pour passer de projet fantasque à réalité palpable. À suivre…
