L’UBB sur le toit du monde : premier titre historique et célébration à Bordeaux !
Un triomphe pour l’UBB
L’Union Bordeaux-Bègles vient de marquer son histoire en décrochant son premier titre, s’imposant face à Northampton avec un score de 28-20. Mathieu Jalibert, véritable figure de proue du club, profite de l’instant et donne rendez-vous aux fervents supporters pour une parade en battement de cœur jusqu’à la place de la Bourse.
Mathieu, un sentiment de fierté ?
Pour Mathieu Jalibert, c’est avant tout une explosion de bonheur et de fierté. "On ne réalise pas vraiment encore", confie-t-il, le sourire aux lèvres. "C’est immense pour le président, nos supporters, ceux qui nous suivent dans les hauts et les bas. On a connu des moments durs, mais toujours on s’est relevé. Maintenant, savourons !"
La pression, même pas peur
Quant à la pression ? Disons que notre homme ne l’a pas vraiment ressentie. "C’était un grand match, c’est sûr, mais préparé comme n’importe quel autre. On est arrivés détendus, galvanisés par l’événement, pas du tout écrasés par l’enjeu. On savait pourquoi on était là et on voulait offrir le meilleur pour décrocher ce trophée. À titre perso, c’était pareil. Jouer mon rugby, être au top pour l’équipe, voilà tout."
Depuis Toulouse, un Mathieu métamorphosé
Cette victoire a-t-elle libéré Jalibert ? "J’ai le sentiment de signer ma meilleure saison. L’épisode avec l’équipe de France a été compliqué, mais je n’ai rien lâché. Je me suis battu, j’ai cru en moi. Physiquement à 100 %, je suis prêt. Le travail paie, et ça se voit."
Dans la cour des grands, pour de bon ?
Ce premier sacre, un changement de regard sur l’UBB ? "On chassait ce titre, on l’a en poche. Forcément, ça impose le respect. On était là en phase finale mais toujours battus. Là, on est récompensés, mais on garde la tête froide. Le boulot ne s’arrête pas : d’autres trophées nous attendent !"
Le président Marti veut le Brennus
Et le président Marti dans tout ça ? "Toujours avide de plus, le Brennus a une saveur particulière pour lui. Mais après une armoire à trophées vide, on ne va pas faire la fine bouche. Par contre, sa joie était palpable dans le vestiaire. Ça parle, non ?"
