Le Stade Toulousain, au cœur de l’ouragan !
Le célèbre club de rugby n’a pas été épargné par une arnaque de grande ampleur. Selon le scoop dévoilé par La Dépêche du Midi, pas moins de 210 000 € ont été perdus dans cette histoire. Et ce n’est pas tout. Les gros titres flairent l’hécatombe.
Un changement de coordonnées bancaires qui coûte cher
Au mois d’août, une entreprise de bâtiment, partenaire du Stade, fait parvenir un e-mail aux finances du club. Objet : modification du RIB pour les prochains paiements. Ni une ni deux, le club se conforme et bascule les montants sur le nouveau compte.
Mais voilà, quelques semaines passent, et voilà le fournisseur qui relance : des factures sont restées en rade. Après enquête, la vérité éclate. L’entreprise a été infiltrée, et l’argent ? Pffuit ! Expédié sur le compte de petits malins.
Le coup tordu ne s’arrête pas là
Les escrocs, visiblement pas rassasiés, attaquent une seconde fois. Cette fois, ils jouent dans la cour des grands : sous le faux nez de Didier Lacroix, big boss du club, un e-mail maquillé est envoyé pour plumer une fois de plus la caisse. Coup de bol, le service financier déjoue le traquenard.
L’enquête prend une ampleur internationale
Europol débarque sur les lieux de l’escroquerie et pas de temps à perdre : l’affaire prend des dimensions internationales. Une véritable toile tissée pour des arnaques à grande échelle. Résultat ? Une plateforme criminelle démantelée et une poignée de suspects cueillis aux quatre coins du globe.
Dès lundi, la scène ressemble à un film : neuf arrestations orchestrées par les forces spéciales de Toulouse et Paris. Trois en garde à vue French side, six alignés à Tel-Aviv. De l’Europe à l’Amérique du Sud, l’arnaque internationale laisse des traces. Montant du braquage ? Plus de 15 millions d’euros évaporés. Ça dépote.