Dans l’univers impitoyable du Top 14, les promus ont la vie dure ! Pourtant, malgré ces défis colossaux, pas question pour la Ligue Nationale de Rugby de revoir les règles du jeu ou de bouleverser le calendrier. Intriguant, non ?
Des débuts souvent difficiles
Entrer en Top 14, c’est un peu comme attaquer l’Everest sans oxygène. Bien des équipes fraîchement promues retombent dès l’été suivant, écrasées par le fossé abyssal qui sépare les deux premières divisions du rugby français.
Yann Roubert, le patron de la LNR, revient sur cette épreuve du feu dans une interview au journal Sud-Ouest. Selon lui, le péril est réel, mais pas systématique.
Le temps, cet éternel ennemi
Prenons un exemple concret : le RC Vannes, qui se bat bec et ongles pour rester à flot à seulement quatre matchs de la fin de saison. À l’inverse, Nice n’a pas eu cette chance et a dû dire adieu à la Pro D2.
Malgré ces turbulences, Roubert écarte d’un revers de main toute idée de chambouler le calendrier actuel pour accorder davantage de répit aux nouveaux venus. Pas facile à avaler, mais c’est la réalité du championnat.
Des coups de pouce pour tenir le choc
Heureusement, la LNR ne laisse pas ses petits nouveaux sans soutien. Des aides financières pour la montée et une flexibilité sur la règle des JIFF sont là pour épauler leurs débuts.
Roubert le rappelle avec un brin de fierté : Bayonne, promu en 2022, vise déjà les phases finales. Comme quoi, avec de l’envie et du soutien, on peut tout faire, même briller au firmament du Top 14 !
