Le rugissement de la Ville Rose secoue le monde du rugby. Vous l’avez vu venir ? L’ancien boss du Stade Toulousain, René Bouscatel, n’est désormais plus à la tête de la Ligue Nationale de Rugby. Mais pas de panique ! Le flambeau a été repris par Yann Roubert, fraîchement élu en mars dernier. Et voilà que, comme un feu d’artifice, Didier Lacroix, l’homme fort du Stade Toulousain, entre en scène. La cause de cette agitation ? L’affaire Melvyn Jaminet, un vrai feuilleton qui fait vibrer la planète ovale.
Une lettre qui claque
Dans son courrier, Didier Lacroix n’a pas mâché ses mots envers la Ligue Nationale de Rugby. Pour lui, la médiation avec la LNR s’est transformée en un véritable parcours du combattant, sans que le Stade puisse s’exprimer. "On nous a fait la morale sans qu’on puisse l’ouvrir, le tout sous les yeux vigilants du Salary Cap Manager", grogne Lacroix.
Et ce n’est pas tout. Lacroix balance que le montant exigé par la LNR ressemble à une sanction déguisée. "Une médiation-sanction", clame-t-il, imposée sans préavis au club rouge et noir.
L’ombre d’un quotidien sportif
Du côté de nos amis de L’Équipe, on en remet une couche. Pour eux, Didier Lacroix joue les victimes alors que, selon eux, rien n’obligeait le Stade Toulousain à s’engager dans ce processus. À tout instant, le club aurait pu changer de cap et opter pour la commission de discipline.
Bref, c’est un véritable match dans le match qui se joue, avec des passes et des contres, et nous, on reste aux premières loges pour voir comment ce duel se terminera. Quelque chose me dit qu’on n’a pas fini de parler de cette affaire… et que le dernier mot n’est pas encore dit !