Stade Rennais : Habib Beye critique l’arbitrage pro-PSG

C’est une défaite difficile à accepter pour Habib Beye. Le Paris Saint-Germain a de nouveau réussi à s’imposer en Ligue 1 contre le Stade Rennais ce samedi. Cependant, le match a été au centre d’une intense controverse. Lors de la conférence de presse, le coach du Stade Rennais a fait part de son mécontentement vis-à-vis de l’arbitrage, en ciblant particulièrement le premier but inscrit par les Parisiens.

Un succès du PSG marqué par une controverse, Habib Beye est sidéré

Le PSG a terminé la rencontre sur un score de 4-1, avec des réalisations de Bradley Barcola, Gonçalo Ramos, complétées par un doublé d’Ousmane Dembélé. Néanmoins, c’est le premier but de Barcola qui a déclenché la polémique. Habib Beye, le technicien du Stade Rennais, a critiqué le fait qu’un coup franc ait été exécuté à une distance de dix mètres de l’emplacement initial de la faute. Selon lui, cette faute de l’arbitrage aurait dû conduire à l’annulation du but, car le jeu n’a pas respecté les règles officielles.

Il a exprimé sa frustration en déclarant : « Il m’explique que mes joueurs ne sont pas prêts. Toutefois, je ne saisis pas la logique d’un coup franc à cinq mètres dans leur camp se jouant cinq mètres de notre côté ». Cette remarque illustre son incompréhension face à cette décision qui, selon lui, a avantagé le PSG. Habib Beye a également mis en avant que ce type d’irrégularité n’était pas un incident isolé, suggérant que les arbitres ont tendance à accorder le bénéfice du doute au PSG plus que de raison.

Il a poursuivi en déclarant : « Jérémy Jacquet ne peut pas avancer de dix mètres par rapport à l’endroit où s’est déroulée l’action. On me répond que les remises en jeu sont parfois effectuées deux ou cinq mètres plus loin. Ça me semble illogique ». Malgré ces querelles, le Paris Saint-Germain continue à dominer le championnat français et n’a pas connu la défaite après leur victoire contre Rennes.

Néanmoins, la série de décisions considérées comme pro-PSG commence à éveiller des soupçons. Habib Beye, en colère, a dénoncé ces erreurs, affirmant qu’elles compromettent l’équité de la compétition.