Arrivé en janvier dernier au Stade Rennais, Kyogo Furuhashi ne trouve pas sa place sous la direction du nouvel entraîneur, Habib Beye. Peu souvent titularisé, l’avant-centre japonais pense déjà à quitter Rennes durant la période estivale pour revenir au Celtic Glasgow.
Transferts du Stade Rennais : Kyogo Furuhashi sur le départ cet été !
Afin de tenter de terminer une saison difficile sur une meilleure note, la direction du Stade Rennais a massivement recruté pendant le mercato d’hiver. Bien que des joueurs comme Seko Fofana et Brice Samba aient répondu aux attentes, l’acquisition de Kyogo Furuhashi, ancien attaquant du Celtic Glasgow, n’a pas eu l’effet escompté.
Star du championnat écossais avec un bilan impressionnant de 85 buts en quatre ans, dont 11 en six mois avant de rejoindre Rennes, Furuhashi a été transféré pour 12 millions d’euros avec l’espoir qu’il fasse la différence en Ligue 1. Cependant, il a été rarement aligné sur le terrain depuis son arrivée en Bretagne. Il n’a participé qu’à quatre rencontres sous les couleurs rennaises, avec une seule titularisation face au RC Strasbourg (1-0) le 2 février dernier.
Le style de jeu du joueur ne correspond pas vraiment aux plans de Habib Beye, le nouvel entraîneur de l’équipe. « Kyogo a des caractéristiques particulières comparées à nos autres attaquants. Il a besoin d’un joueur pivot car il est extrêmement mobile. C’est un joueur qui forme des combinaisons et nous travaillons beaucoup sur ces aspects pour qu’il trouve sa place et se sente en confiance », a expliqué Beye après une rencontre contre le RC Lens.
Cette situation est de moins en moins tenable pour Furuhashi, qui souhaite continuer à représenter son pays lors de la Coupe du Monde 2026. Selon les informations de Transfer Feed, le joueur japonais de 29 ans envisage un transfert dès l’été prochain. Les dirigeants de Rennes ne mettront pas d’obstacle à son départ.
Le principal problème qui se pose est que la valeur de Furuhashi sur le marché a considérablement baissé, et son transfert pourrait se faire pour environ 3,5 millions d’euros, bien en deçà des 12 millions d’euros investis initialement pour le recruter. Cette option pourrait être la plus avantageuse pour toutes les parties impliquées.