PSG: La titularisation d’Ibrahim Mbaye divise les avis

Lorsqu’une nouvelle saison de foot démarre, les compositions d’équipe révèlent souvent des surprises et des espoirs. Le Paris Saint-Germain, lors de son premier match contre Le Havre en Ligue 1, n’a pas dérogé à cette règle.

Un Début de Saison Marqué par des Choix Surprenants

Au cours de la rencontre inaugurale de la saison du PSG contre Le Havre, Luis Enrique a surpris tout le monde en alignant le jeune ailier français Ibrahim Mbaye, alors âgé de seulement 16 ans. Ce choix inattendu a fait couler beaucoup d’encre et a suscité des interrogations.

Pourtant, malgré une prestation qui n’a pas réellement marqué les esprits, le PSG a su s’imposer avec un score de 4-1, empochant ainsi les trois premiers points de la saison. La performance d’Ibrahim Mbaye en première mi-temps a été discrète. Bien qu’il ait exécuté 17 passes avec succès et cadré une frappe, son bilan reste mitigé. Échouant dans chacun de ses huit duels et perdant dix ballons tout en n’en récupérant que trois, sa prestation l’a conduit à être remplacé à la mi-temps.

Le célèbre chroniqueur sportif Daniel Riolo n’a pas raté l’occasion de donner son avis tranché sur la situation.

Des Critiques Virulentes

Daniel Riolo, fidèle à son style habituel, n’a pas mâché ses mots. « Je n’ai pas le fantasme de voir un gamin de 16 ans démarrer. En quoi c’est un kiff ? Il a le droit d’être très bon mais on s’use, on se détruit de plus en plus vite. Je ne vois pas ce que ça apporte », a-t-il sèchement répliqué sur les ondes de RMC. Cette sortie a été perçue comme inutilement agressive et déplacée, surtout envers un jeune joueur en pleine phase d’apprentissage.

Ibrahim Mbaye, qui avait montré des qualités prometteuses pendant la préparation estivale avec le PSG, méritait cette opportunité accordée par son entraîneur. Malgré tout, Daniel Riolo est resté fidèle à sa réputation, multipliant les déclarations controversées.

Ainsi, cette première rencontre du PSG a été marquée non seulement par sa victoire mais également par les débats sur les choix de compositions et les critiques acerbes des observateurs sportifs.