Le futur de Kylian Mbappé hors des rangs du Paris Saint-Germain est désormais une certitude, avec une date de départ fixée au 30 juin. Cette situation met le club dans l’obligation de fouiller le marché des transferts afin de trouver un joueur capable de combler le vide laissé par l’attaquant vedette. Cette mission est confiée à Luis Campos qui se voit face à un défi de taille pour maintenir le niveau offensif de l’équipe.
La recherche de la perle rare pour remplacer Mbappé
Kylian Mbappé a lui-même annoncé, via une vidéo diffusée sur les plateformes de réseaux sociaux, son intention de quitter le PSG à la date du 30 juin. Cette nouvelle a immédiatement activé les dirigeants du club parisien dans une quête effrénée pour dénicher l’élément qui prendra la relève de l’attaquant français sur le marché des transferts. Parmi les noms circulant, on trouve Benjamin Sesko, Victor Osimhen, Michael Olise, et Khvicha Kvaratskhelia. Toutefois, il semblerait que le PSG envisage également de promouvoir Gonçalo Ramos, en vue de remplir le vide laissé par Mbappé.
La stratégie parisienne pourrait donc tourner autour de la confiance accordée à Ramos. Lors d’une interaction avec les lecteurs du Parisien, le journaliste Dominique Sévérac a mentionné : « à mon avis, Ramos dispose déjà de la confiance nécessaire. Il bénéficiera d’un temps de jeu accru la prochaine saison, d’autant plus que le PSG ne semble pas être à la recherche active d’un numéro 9 actuellement, étant donné le départ de Kylian Mbappé ». Il est important de rappeler que le PSG a officialisé l’acquisition de Ramos pour un montant de 65 millions d’euros en novembre, confirmant ainsi sa foi dans le potentiel de l’attaquant portugais à s’imposer au sein de l’effectif parisien.
Avec le départ confirmé de Kylian Mbappé, l’équipe parisienne est face à un tournant crucial dans sa stratégie d’attaque. Luis Campos, chargé de gouverner cette transition délicate, a la lourde tâche de trouver la pièce manquante qui permettra au PSG de continuer à briller aussi bien sur le plan national qu’international.