OM : Cap sur l’Italie, le choix qui intrigue
OM : Une escapade italienne pleine de mystères
En pleine bataille pour accrocher l’Europe en Ligue 1, l’OM ne veut rien laisser au hasard. Sous l’impulsion de Roberto De Zerbi, direction l’Italie pour mieux préparer les échéances cruciales qui s’annoncent. Une stratégie qui divise, même si les résultats du club phocéen semblent donner raison à l’entraîneur transalpin.
Depuis quelques jours, c’est ambiance dolce vita pour les Marseillais grâce à la décision de De Zerbi. L’idée ? Créer un cocon de tranquillité loin du tumulte pour aborder sereinement le sprint final du championnat. Après un succès laborieux contre Montpellier, l’OM a triomphé face à Brest, validant ainsi, pour le moment, les choix de leur coach.
Mais derrière cet exil temporaire, une rumeur tenace enfle : celle d’une taupe qui sèmerait la zizanie au sein du vestiaire. Alors, vrai plan de travail ou simple manœuvre pour couper court aux fuites dans la presse ? Chacun y va de son interprétation…
Ménès critique une démarche « folklorique »
Pierre Ménès, du haut de sa chaîne YouTube, n’a pas hésité à décocher ses flèches. « Partir juste pour fuir une taupe ? Si c’est vrai, c’est grave », a-t-il lâché. Pas convaincu par cette théorie, il enchaîne : « L’OM ne va pas rester à Rome indéfiniment. La taupe, si elle existe, attend dans l’ombre. Pour moi, c’est du folklore marseillais. »
Pour lui, la nette victoire contre Brest s’explique plutôt par la performance individuelle des joueurs. « Un Gouiri en feu, voilà la clé ! Mais maintenant, il faut confirmer contre le LOSC », conclut-il avec son style inimitable.
De Zerbi défend son approche
Malgré les critiques, Roberto De Zerbi assume pleinement ses choix. Sans mentionner le scandale de la taupe, l’entraîneur italien défend son projet. « C’est la meilleure option pour l’OM. Les gars sont ravis. Donnons-leur le crédit qu’ils méritent, ce sont des types formidables », affirme-t-il.
Pour De Zerbi, c’est une véritable « mission commando » pour accrocher l’Europe. « On perd parfois des points par manque d’attitude ou de concentration », explique-t-il. Une chose est sûre : si les débats font rage en coulisses, seul le terrain donnera le verdict final.