Un protagoniste majeur de l’Olympique Lyonnais, très sollicité depuis l’été dernier en particulier par des clubs de Premier League, a fait le point sur son avenir après un mercato hivernal riche en rebondissements.
Transferts : Fulham, Everton et Crystal Palace intéressés par Ernest Nuamah
Ernest Nuamah figurait parmi les potentiels partants de Lyon lors du dernier mercato hivernal. Sa cote sur le marché, évaluée à plus de 20 millions d’euros, faisait de lui un atout majeur du club. Les clubs de Fulham, Everton, et Crystal Palace ont manifesté un intérêt prononcé pour l’enrôler en Premier League.
Recruté pour 28,5 millions d’euros par le club lyonnais, selon les données de Transfermarkt, le jeune ailier ghanéen ne pouvait être vendu pour moins. John Textor, le détenteur du club, avait même tablé sur un montant dépassant les 30 millions d’euros.
Ces attentes financières imposées par le président de Lyon ont cependant modéré l’enthousiasme des candidats pour l’attaquant prometteur âgé de 21 ans.
Olympique Lyonnais : Le jeune ailier ambitionne de grandir au sein du club
Malgré la veille continue des trois clubs de Premier League à la recherche de nouveaux talents, Ernest Nuamah ne semble pas envisager de partir de Lyon de sitôt. Doté d’un contrat courant jusqu’en 2028, il se sent à l’aise dans son cadre actuel et aspire à progresser au sein de l’équipe.
« Je me sens très bien entouré par mes collègues, qui me procurent énormément de confiance. Je crois que je peux encore contribuer davantage à l’équipe. Mon but est de continuer à m’épanouir à l’OL », a-t-il exprimé avant le duel face à Montpellier.
L’international ghanéen, comptabilisant douze sélections, cherche à tirer avantage de la synergie avec ses coéquipiers pour parfaire son jeu. « Mes partenaires sont tous des joueurs de grand talent. Chaque attaquant a son propre style. Alexandre Lacazette a sa manière, Georges Mikautadze a la sienne. Avec Georges, nous entretenons une excellente relation, tant sur le terrain qu’en dehors, ce qui est crucial pour l’équipe », a détaillé Ernest Nuamah.