Morata se justifie sur infidélités après séparations : « J’ai évité la fête de la Sélection »

La récente annonce de la séparation entre Álvaro Morata et Alice Campello a surpris de nombreux observateurs, mais le joueur révèle que cette décision était en fait bien anticipée.

Retour sur la décision anticipée de la séparation entre Álvaro Morata et Alice Campello

Álvaro Morata a décidé de rompre le silence en accordant une interview à Javier de Hoyos pour mettre un terme aux rumeurs entourant leur séparation. Selon lui, la fin de leur relation était une conclusion inéluctable, bien qu’ils fassent tout leur possible pour préserver une relation amicale pour le bien-être de leurs quatre enfants. « La relation est terminée, c’est clair pour moi, même si nous avons une bonne relation pour nos enfants », a-t-il déclaré.

En abordant la situation, Morata a également évoqué les rumeurs d’infidélité qui circulaient à leur sujet. Il a confessé qu’il avait sciemment évité d’assister à une fête de l’équipe nationale pour ne pas alimenter ces spéculations. « Je suis fatigué de ces accusations, et j’ai évité la fête de la Sélection pour empêcher de telles spéculations. Depuis, je n’ai parlé à personne par respect pour Alice et pour éviter ces nouvelles rumeurs », a-t-il souligné. Morata a aussi partagé son malaise face à la pression médiatique, expliquant qu’il avait été contraint de quitter l’Espagne en raison des critiques incessantes, non seulement de la part de la presse people, mais aussi de celle du milieu sportif.

Il a également discuté de la question de leur déménagement. Contrairement aux informations circulantes, il a affirmé que c’était lui qui souhaitait changer de ville, et non Alice. « Tout le contraire de ce qui a été dit : ce n’est pas Alice qui voulait partir avec sa famille, mais moi. Alice voulait rester en Espagne et ne voulait pas déménager à nouveau », a-t-il clarifié. Morata a partagé son état émotionnel en ajoutant : « Je suis dévasté. J’ai fui l’Espagne parce que je ne peux plus supporter la pression et les critiques, non seulement dans la presse people, mais aussi dans la presse sportive. »