Dans le cadre de son avenir professionnel post-Euro 2024, Jonathan Clauss, le défenseur de l’Olympique de Marseille et de l’équipe nationale française, semble être à la croisée des chemins. Pendant la compétition, malgré sa présence dans l’équipe, il n’a pas réussi à se frayer un chemin sur le terrain, barré par les prestations solides de Jules Koundé. Actuellement, les voix s’élèvent au sein du club phocéen pour envisager son transfert durant la période estivale.
Un avenir incertain pour Clauss à Marseille
Engagé jusqu’en juin 2025 avec l’Olympique de Marseille, le parcours de Jonathan Clauss au sein du club pourrait connaître un nouveau tournant cet été. En dépit de son contrat courant, l’idée d’un départ avait déjà effleuré les esprits lors du marché des transferts de janvier passé. Aujourd’hui, c’est l’OGC Nice, sous la houlette de Franck Haise, ancien mentor de Clauss à Lens, qui affiche un intérêt prononcé pour l’arrière droit. Le but ? Renforcer le côté défensif droit de Nice, actuellement occupé par Jordan Lotomba, en y apportant une dose supplémentaire de compétitivité.
La réunion d’Haise et Clauss sous un même drapeau pourrait résonner comme une réunion de stratégies gagnantes passées, Haise connaissant parfaitement les capacités de Clauss depuis leurs jours à Lens. Cette potentialité pourrait s’avérer bénéfique pour Nice, cherchant à sécuriser sa défense pour les challenges à venir.
Cependant, les transactions entre rivaux comme l’OM et Nice ne sont jamais simples. La possibilité de voir Clauss passer du côté niçois soulève des interrogations quant à la stratégie de Marseille, conscient du fait de renforcer un concurrent direct. Tout transfert devra être mûrement réfléchi, l’OM étant en pleine période de réajustements en vue d’affronter une saison pleine d’enjeux.
Ces manoeuvres internes d’OM pourraient créer des opportunities ainsi que des défis, non seulement pour Clauss lui-même mais aussi pour l’équilibre compétitif des deux clubs concernés. La suite de cette saga estival promet d’être aussi captivante sur le plan stratégique qu’elle l’est sur le marché des transferts.