Dans le monde du football, chaque changement de coach représente un nouveau chapitre pour l’équipe concernée. Franck Haise, désormais aux commandes de l’OGC Nice, partage ses ambitions et son enthousiasme à l’idée de mener l’équipe vers de nouveaux succès. Ayant fait ses preuves à Lens, il s’apprête à relever de nouveaux défis sur la Côte d’Azur, avec la ferme intention d’inscrire son nom dans l’histoire du club.
Les premiers mots de Franck Haise en tant qu’entraîneur de l’OGC Nice
C’est officiel, Franck Haise prend la barre technique de l’OGC Nice, avec un bail signé pour une durée de trois ans au sein de l’équipe qui évolue à l’Allianz Riviera. Les premières réactions de Haise à cette annonce montrent un homme à la fois honoré et prêt à se jeter corps et âme dans cette aventure. Il exprime sa fierté d’intégrer un club d’une telle envergure, qu’il a eu l’occasion de croiser comme adversaire par le passé. Pour lui, le charme de l’OGC Nice réside dans son histoire, son projet sportif ambitieux ainsi que les interactions constructives qu’il a eues avec les dirigeants du club. Un accord s’est rapidement dessiné, animé par une volonté commune de se mettre au travail sans tarder.
Franck Haise souligne : «Je suis très honoré d’avoir la chance de diriger l’OGC Nice, une formation de renom contre laquelle j’ai eu le plaisir de me mesurer précédemment. Ce qui a fait pencher la balance ? Le projet attractif proposé par le club et les discussions positives avec l’équipe dirigeante. Nous étions sur la même longueur d’onde et avions tous hâte de commencer. Les défis qui nous attendent sont de taille, mais je suis convaincu que par notre travail commun et notre détermination, nous saurons les relever.»
La nomination de Franck Haise s’inscrit dans un contexte de renouvellement puisqu’il arrive au club en même temps que Florian Maurice, le nouveau directeur sportif, marquant ainsi un nouveau départ et de grandes espérances pour l’OGC Nice. Ensemble, ils aspirent à bâtir une équipe compétitive, à même de s’illustrer tant sur la scène nationale qu’européenne.