Après une période de remous, Jonathan Clauss a décidé de tourner la page en quittant l’Olympique de Marseille pour intégrer l’OGC Nice durant le mercato estival. Ce mercredi, l’international français a évoqué les raisons qui l’ont poussé à faire ce choix et son désir de trouver un nouvel environnement pour sa carrière.
Une séparation inévitable
La rupture entre Jonathan Clauss et l’Olympique de Marseille paraissait inéluctable depuis le début de l’année. En raison de son comportement jugé insuffisant et des critiques publiques émises par le conseiller sportif Mehdi Benatia, Clauss a été encouragé à partir lors du marché des transferts hivernal. Finalement, le défenseur a quitté le club phocéen cet été pour rejoindre les rangs de l’OGC Nice, dans le cadre d’un transfert qui s’élève à 5 millions d’euros, incluant des bonus.
Un nouveau départ nécessaire
Se retrouvant dans une position inconfortable à Marseille, Jonathan Clauss avait besoin de changer d’air à un an de la fin de son contrat. Perturbé par les tourments entourant sa situation personnelle, l’Alsacien aspirait à un environnement plus calme pour relancer sa carrière. « Effectivement, un cadre plus apaisant après une saison tumultueuse à l’OM a été déterminant. J’étais conscient des défis que présente Marseille, mais j’avais besoin de me retrouver dans un climat de travail plus serein et sérieux, loin des bruits incessants qui entourent le monde du football », a-t-il confié.
Un nouveau défi à Nice
À Nice, Jonathan Clauss a découvert un projet dynamique qui l’a séduit, notamment la perspective de retrouver Franck Haise, son ancien coach au RC Lens. « Je recherchais un projet nouveau et des objectifs personnels différents. Même si je n’ai jamais visé à m’installer durablement dans mes clubs précédents, j’adore relever de nouveaux défis. Je suis ravi de commencer ce chapitre inédit et de tirer parti des expériences passées pour aider à la réussite de Nice », a-t-il déclaré.
En intégrant les Aiglons, Clauss espère ouvrir un nouveau chapitre fructueux dans sa carrière.